Une amie en France m’a récemment aidé à acheter quelque chose dont le fournisseur ne me l’enverrait pas. C’est pas encore arrivé mais je sais déjà assez pour écrire ce post, et j’ai pas envie de mentionner cette histoire quand le truc arrive enfin. Version courte : soyez fiers de La Poste, les amis.
Début décembre, j’ai envoyé un colis à quelqu’un en France. Notre poste l’a reçu le 2 décembre, mais vers la fin de I l’après-midi. On dira donc le 3 décembre. Voilà l’histoire :


J’ai payé cher pour le service appelé « Prioritaire », qui m’a promis « 6-10 jours », pour deux fois l’argent du service ordinaire. On peut voir que le colis a été retardé de 27 jours aux États/-Unis avant d’arriver en France. Je pardonne le délai après — c’était la fête du Nouvel An. Mais c’est inacceptable.
Voilà ce que La Poste a fait vers l’autre direction :

Je n’ai pas honte — c’est pas moi qui « travaille » (le mauvais mot) chez l’USPS. Mais je suis en même temps tellement gêné et jaloux. 4 jours pour traverser l’Atlantique, pas 27.
Quand j’ai vu Jour de Fête, je vous ai dit que la partie intitulée « La Poste en Amérique » était une grosse blague. C’est pas juste qu’ils ne font pas les efforts super-héroïques décrits dans le film. C’est qu’il ne faut pas utiliser le mot « effort » quand on parle d’eux.
Comme je vous ai dit, soyez fiers.
Dans les films américains, j’ai vu que le courrier était toujours transporté par des diligences, parfois même attaquées par des bandits ou des « indiens »… Ça pourrait expliquer le retard ! 🙂
Vous avez fait un « anglicisme » en écrivant « quelque chose dont le fournisseur ne me l’enverrait pas ». C’est plus simple en français : « quelque chose que le fournisseur ne m’enverrait pas ». 😉
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