Archives mensuelles : janvier 2021

Le bon choix pour le concours Eurovision

Aux États-Unis, nous ne participons pas au concours Eurovision. Mais les gagnants deviennent parfois très connus ici. Par exemple, en 1974 quand ABBA a gagné avec «Waterloo» (quel mauvais titre, hein !), la chanson est devenue # 6 dans notre classement. La mème chose s’est passé en 1976 avec la chanson britannique «Save Your Kisses for Me». Je ne veux pas que vous pensiez qu’une chanson en français ne peut pas réussir ici — «Tu es foutu» par In-Grid était #2 en 2002 (il y a avait des versions en anglais et français — j’ai acheté l’une en français à l’époque !) et «La Vie En Rose» était #23 en 1947. Mais c’est vrai que ça n’arrive pas trop souvent, et jamais avec les chanson françaises d’Eurovision.

Ce week-end, Barbara Pravi a gagné le concours en France, et sa chanson «Voilà» représentera le pays au concours Eurovision. Je l’ai trouvé sur Taratata en décembre, et je suis tombé amoureux de sa voix à l’époque. Je ne connais pas les autres, mais je sais qu’elle est un très bon choix, et vous pouvez être fier d’elle.

Un trésor français aux États-Unis

Un ami m’a parlé d’un musée ici au milieu de nulle part avec un grand trésor français. Au bord de nos états du Washington et de l’Oregon, il y a un musée appelé Maryhill. Pour contexte, c’est comme il y a un grand musée de beaux arts en France mais en dehors de Paris — non, je plaisante ! Mais sérieusement, c’est dans une petite ville de 3,000 personnes. Maryhill a deux collections vraiment intéressantes qui viennent de France.

D’abord, il y a une collection de sculptures du sculpteur célèbre Auguste Rodin. Connaissez-vous «Le Penseur» ? Bien sûr, il y a plus de 20 copies partout dans le monde, mais ils en ont un. Il y a aussi 80 autres œuvres de Rodin, mais c’est souvent le cas avec ses sculptures en bronze qu’il y a plusieurs copies. Non, c’est l’autre chose là-bas qui est vraiment sans pareil.

Le Théâtre de la Mode est une exposition de poupées, mais des poupées uniques — elles faisaient partie d’une grand projet pour sauver la haute couture en France après la Seconde Guerre Mondiale. Connaissez-vous les noms Cartier, Hermès, Balenciaga ? Oui, tout le monde les connaît ! Après la guerre, leurs créateurs ont créé une collection de poupées et de scènes qui viennent de partout l’histoire de la France. C’était une grande exposition au Louvre, mais après la fermeture de cette exposition, les poupées sont parties pour une exposition aux États-Unis — et elles ont été perdues pendant des années.

On peut lire beaucoup dans le catalogue de l’exposition. C’est en anglais, mais je vais vous raconter juste une histoire. Pendant la guerre, les allemands complotaient voler toute l’industrie — kidnapper les œuvriers et les amener tous à Berlin. Mais le président de la Chambre Syndicale de la Couture, Lucien Lelong, les a convaincus que c’était à cause d’être à Paris et nulle part ailleurs que l’industrie réussissait. Heureusement, les allemands ont décidé qu’il connaissait l’industrie mieux qu’eux !

Finalement, voici deux vidéos. D’abord, une petite vidéo sur l’exposition :

Et l’autre, des nouvelles de l’exposition originale au Louvre !

Jo, quelle farce !

Ce soir, j’ai continué avec les films de Louis de Funès en regardant «Jo». Le distribution de ce film est incroyable — à part Louis, on se trouve Claude Gensac, Michel Galabru, Bernard Blier, et Paul Préboist. C’est une liste des vraies stars. Et c’est souvent un film vraiment drôle !

D’abord, je dois vous dire que c’est la deuxième fois où j’ai regardé un film français sans sous-titres (après «L’as des as»). Je pouvais peut-être comprendre la moitié de la dialogue, alors je suis certain que j’ai raté des parties importantes. Mais je suis également sûr que j’ai compris la partie la plus importante — de Funès a tué un bandit, et lui et sa femme doivent cacher le corps. C’est souvent le cas que Claude Gensac joue dans un rôle où elle est plus forte que son mari de Funès (par exemple : Le gendarme se marie, Oscar, Hibernatus), et c’est vrai dans ce film. Ça marche bien — elle est drôle, et dans les meilleurs rôles de Louis, ses personnages doivent apprendre des leçons grâce à leurs proches.

Il y a une enquête chez les Brisebard (de Funès et Gensac), et ils déplacent le corps chaque fois que l’inspecteur (Blier) et ses assistants demandent savoir s’ils savent où est l’homme mort. À la fois, il y a aussi des clients qui veulent acheter la maison, et ils ne partent pas, même avec des policiers là. C’est drôle — et aussi un peu trop difficile à croire. Dans une vraie enquête, les policiers garderaient tout le monde dans un seul lieu pendant qu’ils fouillaient la propriété. J’en ai profité quand même, et je suis sûr que je le reviendrai quand je pourrai mieux comprendre.

Une biographie de Nico

Il y a presque un mois, j’ai commandé quelque chose de spécial. (Je vous ai dit juste un peu quand j’ai écrit sur le sujet d’Amazon et PayPal.) L’un des meilleures choses depuis que j’ai commencé à parler avec des gens sur les réseaux sociaux est que j’ai rencontré beaucoup de monde qui veulent m’aider dans mon voyage. Parmi ces gens est la journaliste Helena Mora, qui écrit pour le site MagMusic. Nous nous avons rencontré quand j’ai rejoint un groupe de fans d’Indochine.

Helena m’a aidé avec beaucoup de choses quand je ne comprenais pas encore assez le français pour trouver des choses comme leur concert chez NRJ ou l’interview de Nico sur C à vous. Vraiment, je n’ai rien fait pour mériter son attention — il y a plus de 35K personnes dans ce groupe-là de fans — mais je l’apprécie beaucoup.

Alors son livre, Nico : Vivre encore plus fort. C’est une collection d’histoires, d’interviews (avec Nico et d’autres), et de photos. Je vais vous donner deux exemples. En premier, un peu de son introduction à Nico, et après, un peu sur Helena elle-même.

Le Roi en jaune

Je vous ai fait une promesse d’expliquer ce que le livre «Le Roi en jaune» a à voir avec mon amour du pays de France. J’ai recherché, et alors qu’on peut trouver une traduction du livre en français (sorti en 2009), elle reste peu connue. La plupart de sa page de Wikipédia est vide.

D’abord, l’idée centrale du livre est qu’il y a une pièce de théâtre, «Le Roi en jaune», qui a été publiée en Europe et plus tard, aux États-Unis. La pièce raconte l’histoire d’une famille royale qui habite sur un autre planète, près de l’étoile Aldébaran. Les habitants de ce planète sont aussi des êtres humains; cette histoire n’a rien à voir avec des extra-terrestres. En tout cas, la famille perd sa royaume à un démon appelé «Le Roi en jaune». La pièce est peut-être magique, et une performance peut attirer le vrai démon. Ou elle est peut-être absurde, et ceux qui croient au Roi en jaune sont fous. Dans les histoires, ce n’est pas clair aux personnages, mais c’est clair au lecteur — la magique est réelle, et le Roi existe vraiment.

Il y a dix histoires dans ce livre. Deux se passe à New York, et la reste en France, la plupart à Paris. Je ne sais pas si l’auteur connaissait bien la géographie de Paris; je n’avais donc aucune idée si on peut trouver tous les lieux dans ce livre. Ce que je peux vous dire c’est qu’il aimait écrire de la poésie en français, souvent en forme d’épigramme. Pour moi, ces épigrammes étaient toutes mystérieuses jusqu’à cette année. Voici un exemple :

« Ferme tes yeux à demi,

Croise tes bras sur ton sein,

Et de ton coeur endormi

Chasse à jamais tout dessein. »

« Je chante la nature,

Les étoiles du soir, les larmes du matin,

Les couchers de soleil à l’horizon lointain,

Le ciel qui parle au coeur d’existence future ! »

(Source)

Mes histoires préférées dans ce livre sont celles qui traitent du Roi, mais il y a un autre qui est un hommage à un auteur français, Théophile Gautier. L’histoire dans «Le Roi en jaune» s’appelle «La Demoiselle d’Ys». Il s’agit d’un homme qui s’endort dans une forêt, et quand il se réveille, il y a une femme appelée Jeanne d’Ys qui le trouve. Ils passent une bonne semaine ensemble, tombent amoureux…et ensuite elle disparaît. M. Gautier a écrit une histoire similaire plus tôt, dans son roman Arria Marcella

Grâce à Internet, je peux voir qu’il est probable que ses lieux n’existent vraiment pas. Par exemple, Google Maps ne peut trouver aucune «Rue Barrée» à Paris. Mais ça ne me dérange pas. Ce qui est important c’est que ça m’a donné envie de chercher la magie en France. Et je l’ai trouvé !

Quand deux égale trois

C’est encore le temps du dessin de la semaine. La semaine dernière était trop drôle alors je suppose qu’elle ne pouvait pas être répété. Plus on parle du vaccin, plus on râle du virus. C’est inévitable. Mais je trouve la précision dans ce dessin très drôle quand même.

Il y a aussi une petite blague sur les tendances des internautes. Je suis vraiment désolé que nous les américains avons créé «le hashtag» :

J’espère qu’un jour — venez bientôt ! — il y aura encore des autres sujets que le virus.

Comme toujours, si vous avez profité de ces dessins, abonnez-vous !j

J’achète mon premier livre numérique dans l’UE

Une amie qui me connaît dans un groupe de fans de Laurence Manning, où on parle souvent des jeux vidéo, m’a parlé d’un éditeur de livres sur ce sujet en français : Third Editions. Elle pensait que je m’intéresse peut-être à leur livre sur le jeu Final Fantasy IV, parce que c’est mon jeu vidéo préféré.

Je dois vous dire, c’est un peu un autre exemple de mon post «Quand on veut...». Le livre en papier coûte 12,45 € — et 33,40 € en frais de livraison aux États-Unis. Merci, mais non.

Mais mon amie a aussi trouvé une version numérique. Chaque fois où j’essaie d’acheter un livre numérique, j’ai un problème avec les droits régionaux. Ni la FNAC ni Amazon ne me vendront aucun livre numérique. Mais il ne coûte rien d’essayer et…

Ça marche !

J’ai enfin appris à cause de ce livre pourquoi mes groupes de nostalgiques ne parlent jamais des jeux «Final Fantasy». C’est pourquoi ce jeu japonais est un souvenir de mon enfance, et de mes amis francophones québécois, mais pas de personne en Europe. Le premier jeu de la série en Europe était «Final Fantasy VII» en 1997. J’avoue — j’étais plus qu’un peu choqué par cette nouvelle. Je trouve souvent qu’ils connaissent beaucoup d’émissions américaines que je ne me souviens pas du tout, comme «Tonnerre mécanique» ou «Manimal». Et moi, qui a vu plus de films de Michel Galabru que Robert de Niro, je suis toujours surpris que les français savent plus de mon enfance que moi !

En fait, j’ai déjà acheté un livre numérique en français. Mais c’était chez Amazon aux États-Unis. Ma grand-mère était grand fan de Maigret (en anglais). J’ai donc acheté un livre d’histoires de Maigret il y a plusieurs mois, celui-ci :

C’est encore trop difficile pour moi. J’ai souvent plus d’enthousiasme que de sens. Mais avec le nouveau livre, j’aurais pu l’écrire moi-même ! Je suis donc sûr que je n’aurai aucun problème à le lire !

Je découvre l’Aude

On continue maintenant avec département 11, l’Aude. L’Aude est dans la région d’Occitane, près de l’Ariège. Il est le département le quarante-troisième plus peuplé et les habitants se nomment audois.

La ville la plus célèbre d’Aude est Carcassonne, d’où j’ai une petite connexion littéraire. Il y avait un écrivain américain, Ambrose Bierce, qui écrivait des histoires de fantômes dans le XIXe siècle. Dans l’une de ses histoires, «Un Habitant de Carcosa» (lien en anglais), il a emprunté le nom de la ville. En 1895, un autre américain, Robert Chambers a publié un livre, «Le Roi en jaune», un recueil de nouvelles qui a emprunté quelques choses à Bierce, dont le nom Carcosa. Le Roi en jaune est l’un des livres le plus importants de ma vie. Une autre fois, je parlerai plus du livre. Il suffit maintenant de dire que la moitié des nouvelles dans ce livre se passent en France. Ça fait partie de mon imagination depuis longtemps.

On parlera plus de Carcosa…désolé, Carcassonne. L’histoire de Carcassonne est étroitement liée à l’Ariège. Souvenez-vous qu’on a parlé du catharisme et des châteaux de Montsègur et de Foix ? Simon IV de Montfort était vicomte de Carcassonne et comte de Toulouse, et en 1218, il était tué pendant la guerre contre les cathares à Toulouse. Son ennemi ? Le comte de Foix, Roger-Bernard II. Plus tard, dans les années 1570s, le duc Henri Ier de Montmorency a mis la ville à côté des protestantes. Si vous vous intéressez aux guerres de la religion, il y a 22 sites touristiques sur le catharisme dans l’Aude.

Aujourd’hui, Carcassonne est bien connu pour son château incroyable. Selon leur site, il a «Trois kilomètres de remparts, deux enceintes fortifiées (IVe et XIIIe siècles), quatre portes, 52 tours et barbacanes offrent des points de vue remarquables sur les alentours». Ça fait partie de la cité de Carcassonne, où on se trouve aussi la Basilique Sainte-Nazaire et la Porte Narbonnaise.

Mais il y a aussi beaucoup d’autre sites intéressants dans l’Aude ! À Narbonne, la plus grande ville de l’Aude, on se trouve la Cathédrale Saint-Just-et-Saint-Pasteur qui date de 1272. Le canal du Midi est construit dans le XVIIe siècle, et fait partie de liste du patrimoine mondial de l’UNESCO. Près de Lézignan-Corbières, on se trouve l’Abbaye Fontfroide, avec des bâtiments du XIIe siècle et des vitraux du XXe (3 étoiles selon Michelin). Et pour ceux qui veulent faire une balade il y a le Parc naturel régional de la Narbonnaise en Méditerranée.

Je demande toujours, «Qui sont les personnes les plus connues du département ?» Dans l’Aude, il y a la chanteuse Olivia Ruiz (je l’ai adoré sur Taratata !), le chanteur Charles Trenet (avouez-le, vous chantez «La Mer» en ce moment !), le poète André Chénier (connaissez-vous l’opéra sur lui ?), le chimiste Paul Sabatier (qui a gagné le Prix Nobel), et le footballeur Fabien Barthez.

Finalement, la nourriture, non ? L’Aude est célèbre comme la maison du cassoulet (au moins, c’est leur légende !). Ils sont connus pour leurs cerises, qui sont utilisées pour le clafoutis. La truffe Pays Cathare fait partie de leur patrimoine (les truffes noires sont trop chères pour ce blog). Ils mangent aussi des mêmes choses comme leurs voisins de l’Ariège — l’aïgo bullido et la croustade aux pommes. Et pour boire avec tout ça, il y a 40 000 ha de vignobles !

Une comédie de Coluche

Ce soir, j’ai regardé «Deux Heures moins le quart avant Jésus-Christ». C’est un film vraiment différent que mes films habituels avec de Funès et Bourvil, n’est-ce pas ? (C’est mon deuxième film de Coluche, après «L’aile ou la cuisse».) Ça me rappelle plusieurs films anglophones — «La vie de Brian», «Le Forum en folie», «2000 Year Old Man» — mais avec un sens d’humour français. Et à mon avis, beaucoup plus drôle !

Ce film se moque surtout de Ben-Hur. Coluche joue sous le nom «Ben-Hur Marcel», un personnage qui travail comme garagiste des chars. Il doit courir des chars, combattre des gladiateurs et des lions, mais à chaque fois, ça devient une farce. Il fait partie d’un complot, mais c’est une grosse blague contre Caesar. Et la blague qui est peut-être la plus française : «Ben-Hur Marcel» organise une grève de soldats et de gladiateurs au milieu du cirque ! C’est mon style de blague !

Bien sûr, c’est une sorte de film plus «adulte» que les films de de Funès. Mais ce film reste encore drôle au moyen de blagues, pas de vulgarité. J’ai beaucoup apprécié et maintenant, j’ai hâte de voir plus de Coluche !

Deux desserts champenois

Quelle chance pour vous les lecteurs ! Je voulais faire quelque chose de plus avec le reste de mon chocolat Valrhona Manjari, mais ce n’est pas vraiment un dessert particulièrement aubois, alors j’ai fait deux desserts. J’espère que vous verrez qu’il y a beaucoup de choses qu’on peut faire avec du champagne. Oui, il y a aussi quelque chose en dessert avec du champagne et du fromage Chaource (la glace au Chaource et coco, page 49 dans le lien). OUBLIEZ-LE.

D’abord, pour nos amis chez Twitter et Facebook, les deux ensemble :

Notre premier dessert, le sabayon au champagne est un dessert aussi connu chez les italiens (appelé «zabaglione»), mais là-bas, ils utilisent leurs propres vins. Il n’y a rien de mal avec ça ! Mais pour faire un sabayon typiquement champenois, également de l’Aube et de la Marne, il faut utiliser du champagne. J’ai trouvé cette recette sur Keldelice, un bon site pour trouver les plats typiques, mais pas le meilleur site pour les instructions. Comme d’habitude, j’ai coupé la recette, mais celle-ci ne marchait pas quand tous les ingrédients étaient coupés par deux tiers. J’ai vérifié quelques recettes d’autre et ajouté plus de jaunes d’œuf. Je suis heureux avec les résultats.

Les ingrédients :

  • 4 jaunes d’œuf
  • 35 g sucre en poudre ou sucre semolina
  • 1/2 sachet de sucre vanillé
  • 13 cl de champagne
  • Des mûres ou des fruits rouges

Les instructions :

  1. Casser les œufs et mettre les jaunes dans un saladier.
  2. Verser le sucre et le sucre vanillé.
  3. Avec une cuiller en bois ou un fouet, travailler ce mélange jusqu’à ce qu’il devienne jaune pâle et mousseux, bien homogène.
  4. Poser le saladier dans une casserole plus grande à demi remplie d’eau et poser le tout sur le feu doux. Verser le champagne peu à peu sans cesser de remuer avec un fouet.
  5. Travailler le sabayon jusqu’à ce qu’il prenne une consistance onctueuse.
  6. Au bout de 8 à 10 minutes, retirer la casserole du feu et laisser tiédir ou refroidir complètement.
  7. Verser le sabayon dans des coupes, et servir aussitôt, tiède, ou après avoir fait refroidir au réfrigérateur. Décorer avec des fruits selon vos goûts.

Mais si vous préférez quelque chose au chocolat, nous avons aussi les truffes au chocolat. Je suis TRÈS heureux avec cette recette, mais j’ai quelques astuces qui ne sont pas d’accord avec la recette originale. Il est possible que je sois un peu trop prudent. En tout cas, la recette :

Les ingrédients :

  • 150 g chocolat noir
  • 6 cl de crème liquide entière
  • 30 g beurre doux
  • 8 cl champagne
  • 100 g chocolat noir
  • Du cacao en poudre non sucré

Les instructions :

  1. Hacher le chocolat (150 g) au couteau. — J’ai utilisé des fèves de Valrhona Manjari. C’était peut-être inutile de les couper, mais je l’ai fait quand même.
  2. Faire bouillir la crème avec le beurre, puis ajouter le champagne. Verser ensuite le tout sur le chocolat haché et attendre quelques minutes que le chocolat fonde.
  3. Mélanger ensuite doucement à la spatule pour ne pas incorporer d’air. Réserver la préparation au frais pendant 15 min. — J’ai trouvé qu’après 15 minutes, la ganache était encore trop liquide, et aussi après 40 minutes. Je l’ai laissé reposer pendant 3 heures.
  4. À l’aide d’une poche ou d’une cuillère, former des petits tas sur une feuille de papier sulfurisé, puis les refroidir. Les rouler ensuite dans la paume de la main pour leur donner une forme régulière. — Après cette étape, j’ai encore laissé reposer les balles dans le congélateur pendant 1/2 heure.
  5. Faire fondre le reste de chocolat au bain-marie ou au micro-ondes. — J’ai utilisé le micro-ondes. Le chocolat était un peu trop chaud. Laisser reposer
  6. Prendre un peu de chocolat fondu dans la paume de la main et en enrober les morceaux de ganache, puis les poser dans le cacao en poudre. — J’ai trouvé que ça marchait mieux après avoir laissé refroidir le chocolat fondu.
  7. Conserver au frais.