Alors, cette semaine aurait pu mieux aller, n’est-ce pas ?
À mon avis, le blog peut devenir très sombre de temps en temps, mais la balado doit rester une source d’optimisme, car elle ne sort qu’une fois la semaine. C’est donc pourquoi j’ai décidé d’enregistrer quelque chose de complètement différent. Langue de Molière y apparaît, parce que c’est toujours drôle — SILENCE, vilain cobaye ! — mais au lieu des articles tristes, ou ceux qui ne marchent pas sans leurs médias, je parle de bonnes nouvelles récentes et certaines choses qui apparaîtront ici plus tard. J’ai enregistré cette partie sans scénario, juste quelques notes, alors c’est le moi le plus authentique que vous aller entendre. Je suis curieux de votre avis.

Mon gros-titre est un calembour sur le roman de Gabriel García Márquez, L’Amour aux temps du choléra. (En fait, il ne l’a pas appelé ça du tout ; je l’ai lu sous le titre « El amor en los tiempos del cólera ». Je suis en général fan de García Márquez, mais ce roman m’a donné l’idée la plus stupide de ma vie, que c’est peut-être raisonnable de patienter 50 ans pour la bonne personne. Je n’ai pas envie de me plaindre plus cette semaine ([Qui êtes-vous ? Justin, où est-il ? — M. Descarottes]), alors si je vous parle plus de ce roman, il serait dans un post sur tout García Márquez, non pas seulement ce roman.
Alors, je vous ai dit la dernière fois que je croyais que l’on aurait avoir des nouvelles de Laurence Manning cette semaine. En fait, je les ai déjà sues, mais j’ai dû les garder secrètes jusqu’à vendredi. Elle a annoncé son prochain album, celui auquel j’attends depuis quatre ans :

L’album est enfin la collection de musique de la série de jeux vidéo Castlevania sur laquelle elle travaillait juste avant le confinement, quand Konami, l’entreprise qui publie Castlevania, a suspendu l’effort. Il est maintenant disponible à précommander, à écouter sur Spotify, ou à télécharger sur Bandcamp. Vous serez surpris à apprendre que je l’écoute en boucle ce week-end, et le recommande fortement — mais ma critique sera quand même un peu différente de ce à quoi vous vous attendez.
Notre blague traite des belges ; celle de la semaine prochaine sera à l’envers. Je vous rappelle qu’à partir de cette saison, les blagues sont disponibles du menu en haut, avec une semaine de retard. Notre article est :
Sur le blog, il y a aussi : Vivir mi vida, sur la version espagnole de « C’est la vie » par Khaled, La connerie à l’américaine, ma plainte sur l’accueil des attaques, Le trilingue le plus drôle au monde, sur les clips de Loïc Suberville, Le Silence des bruyants, ma plainte sur l’accueil d’encore plus d’attaques, et La soirée belote, ma première fois de jouer à ce jeu de cartes.
Si vous aimez cette balado, abonnez-vous sur Apple, Google Play, Amazon, Spotify, ou encore Deezer. J’apprécie aussi les notes et les avis sur ces sites. Et le saviez-vous ? Vous pouvez laisser des commentaires audio sur Spotify for Podcasters, qui abrite la balado. Bonne écoute !

Inutile de t’en prendre à Mr Descarottes, il n’y est absolument pour rien. Si j’ai beaucoup aimé le livre cité (que j’ai commenté en son temps chez moi), je ne suis pas pour autant sûre que ce soit la solution, mais je ne suis pas qualifiée pour d’éventuels conseils, nous avons chacun nos failles et devons composer avec ! De belles rencontres à toi ! 😉
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