London calling

Peut-être le pire des abus des films James Bond était l’utilisation de la chanson « London Calling » dans Meurs un autre jour :

Les paroles ne sont pas du tout pour fêter Londres, mais plutôt pour le mépriser. Mais la photographie est superbe, et le parachute est un bel hommage à la meilleure scène de tout Bond, alors je le pardonne. Mais se faire foutre de ma gueule dès que je sors de l’avion, je ne l’excuse pas :

À l’aéroport Charles de Gaulle, le garde au scanner a demandé de fouiller dans mon sac à marin. Après quelques minutes, il m’a dit « There’s nothing but food in here? » (« Il n’y a que de la nourriture au-dedans ? ») J’ai répondu — en français, bien sûr — « Mais oui, monsieur. Je suis contrebandier de nougat de Montélimar. » Il a bien ri.

Vous auriez dû savoir que je ne quitterais jamais la France sans un certain achat :

Je suis heureux de vous dire qu’au tout dernier moment avant de quitter la France, j’ai eu un coup de fil avec une chère amie, la même que la dernière fois. Elle sait très bien — er je sais qu’elle lira ce post — que mon plus grand regret du voyage est que je n’ai pas trouvé un moyen de nous retrouver.

De toute façon, il nous faudra prendre un plus long vol d’Air France une autre fois, car La Fille a la mauvaise idée sur leur hospitalité :

À Heathrow, nous avons passer par WHSmith. Remarquez l’ours Paddington :

Nous avons fait des achats. Vous me connaissez assez pour savoir quoi sans regarder la photo :

OMD, mais c’est bondé :

Nous y avons déjeuné. Service à l’anglaise : 25 minutes de notre entrée jusqu’au départ !

Je dois y aller, mais on se reverra demain !

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