Ce soir, je suis assisté à une autre « soirée mecs » de l’OCA. Ça aurait pu mieux aller, mais vu le gros-titre, commençons avec des photos que j’ai prises du lieu.
D’abord, voici le bâtiment, Saddleback Lanes à Mission Viejo, ce dernier étant de l’espagnol pour « nulle part ». C’était brillant de la part de l’organisateur. Il y avait de l’alcool, mais quand les femmes demandent aux maris où étaient/ils ce soir, ils peuvent dire en toute honnêteté « nulle part ». Voilà, ça fait déjà presque 15 ans depuis la dernière fois où j’ai dû répondre à une telle question, pourtant je suis mieux préparé que jamais.
Connaissez-vous le film « The Big Lebowski » ? Il s’agissait en partie du bowling, alors voici le bar :
Ce ne serait pas un bowling américain sans une salle d’arcade, alors voilà :
On était 11 ce soir, mais seulement 9 joueurs. On avait donc deux pistes, 5 joueurs à un côté, 4 à l’autre. J’ai fait partie des 4. Seulement une personne a apporté sa propre boule et chaussures. Ouaip, moi. Je ne le fais plus souvent, mais c’était l’un de mes clubs à la fac. Je sais, vous mourez déjà de curiosité de mes scores, alors : 117, 73, 124.
Attendez, l’une de ces choses n’est pas comme les autres, comme dit la comptine anglaise. Qu’est-ce qui s’est passé ? J’ai un moyen de 120 pendant presque toute ma vie, mais vers la fin du premier match, j’ai rejoint les autres en buvant un verre de bière. Tout à coup, je ne pouvais plus lancer la boule dans le bon sens. Je vous ai dit une fois que je ne peux pas boire de l’alcool du tout, et voici un bon exemple de pourquoi. C’était seulement un verre.
Mais honnêtement, la pire chose n’était pas un score gênant (si on va apporter ses propres équipements, il faut jouer bien). J’étais en 3e place des 9, tout à fait acceptable. Non, le cauchemar est arrivé quand nous sommes revenus dans le bar après. Je me suis retrouvé assis entre deux conversations sans faire partie de l’une ni l’autre, et c’était assez bruyant que je ne pouvais vraiment rien comprendre. Après une demi-heure de m’asseoir sans participer, j’ai décidé que c’était assez et je suis parti. Vu les SMS du groupe, les autres sont restés une heure de plus.
C’était effrayant de regarder la situation. Aux deux côtés, les autres s’adressaient les uns aux autres, et j’avais déjà du mal à comprendre avec la musique en concurrence contre les gens. Mais je me suis rendu compte comme jamais que je ne pouvais rien distinguer à moins que l’on ne me parle directement. Je n’avais pas avant l’impression d’avoir des difficultés à cet égard, mais peut-être qu’il me faudra prendre rendez-vous chez l’audiologiste. Super, je n’avais pas déjà assez de problèmes.
L’organisateur a reconnu que quelque chose n’allait pas, mais a mal compris en pensant que c’était la vitesse. Nan, c’est pour ça que j’écoute RTL. Mais deux conversations entre 3-4 personnes chacune et de la musique dans une autre langue en plus ? C’était un niveau de surcharge sensorielle pour laquelle je n’étais pas du tout prêt. J’ai l’impression que l’on revisitera ce sujet dans l’avenir.
Un Coup de Foudre 
Depuis que tu parles des Grosses Têtes, l’envie de les écouter de nouveau m’est revenue et je t’en sais gré car on s’amuse bien ! Reste que la cacophonie est aussi très pénible pour l’auditrice de langue maternelle commune et les pauses de pub interminables, raisons pour lesquelles j’avais cessé d’y être fidèle. Comme l’émission est pré-enregistrée, le différé produit des bévues comme hier où un auditeur devait trouver le nom du Français en lice pour s’occuper des prochains J.O. et que Ruquier a répété cette info alors qu’une journaliste venait juste d’annoncer à la pause d’infos qu’une femme avait été élue coiffant le postulant au poteau ! Un bug amusant qui a nui à la « magie » du supposé direct.
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Et là, j’avais cru que c’était en direct !
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Il faut croire que non. Je n’en sais pas plus sur les enregistrements de cette émission. En revanche je te laisse corriger mes deux coquillettes du jour (enRegistrée, unE femme) pour une bonne salade de pâtes à partager en « Aminautié » !
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J’ai trouvé l’émission d’aujourd’hui particulièrement grossière ! C’est souvent ainsi avec cette ministre ! Voilà une autre raison de les écouter moins souvent !
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Great post! I love how you’ve captured the atmosphere of the bowling night with humor and authenticity. It’s clear that you made the best of the situation, even when things didn’t go as planned. The little details you shared, like the « Lebowski’s » bar and the arcade, really painted a vivid picture. Looking forward to hearing more about your future adventures!
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J’adore le bowling et d’ailleurs je gagnais souvent, là ça fait un bail que je ne suis pas allée me défouler au bowling….
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Comme toi, je n’aurai pas supporté deux conversations en même temps, plus la musique… une bonne raison de partir ! Je compatis.
Je n’aime pas non plus dans certains magasins la musique trop forte (souvent de mauvaise qualité, pour moi).
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Vous tracassez pas trop. Je crois que l’idée de surcharge sensorielle est juste, en plus le verre de bière n’a pas eu l’air de vous aider pour le bowling donc en vrai ça a peut-être aussi joué pour ça. C’est un ensemble on dirait.
Près de chez moi il y a un bistrot qui s’appelle « au bureau ». Comme ça si le mari est au bar et que sa femme lui demande par téléphone où il est il n’a qu’à répondre: « Au bureau ».
Un souvenir m’est revenu en lisant votre billet: lors de mon séjour à Omaha en 2de j’avais été au bowling avec ma famille d’accueil. Il y a une photo que j’aime beaucoup où ma correspondante et moi sommes devant la piste, explosées de rire. Je pense que c’était sûrement car je venais de faire un lancer lamentable mais je trouve ce cliché chouette vu qu’on ne parlait pas très bien la même/e langue.
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Moi aussi, j’ai du mal à suivre deux conversations en même temps, brouillées par du bruit et de la musique. Même sans avoir bu de l’alcool. 🙂
Petite correction : « Ce soir, je suis assisté à une autre soirée mecs ».
C’est plutôt : « Ce soir, j’ai assisté à une autre soirée mecs ».
« être assisté (par) » signifie « être aidé (par) ». 😉
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J’ai joué au bowling deux fois , l’une en Savoie piste normale avec rigole les quilles tombées étaient remontées avec des , ficelles il y avait des embrouillages, le relevage automatique n’existant pas (années 60) La deuxième fois en Suisse le champion local battu par mézigue venant de sa région parisienne pour dix jours au ski ou patin à glace voire ski de fond et raquettes le gars fait deux strike d’affilée .mon tour arrive trois strikes après devenu champion local Je ne sais comment j’ai joué le gros coup de bol ,de chance , de pot , une veine de cocu .tout c’est terminé devant une fondue et quelques verres de Fendant .(années 80), Ai continué avec les patins ,étant gaucher je tournai en sens inverse des droitiers Décidément le sport en groupe ne me convenait pas Au ski pas mieux je n’étais pas fait pour le slalom ou la descente en schuss à tout berzingue Avec les raquettes il fallait avoir des moltogom solides (mollets)Les sports d’hiver n’étaient pas pour moi .
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Vivant dans un désert toute ma vie, les sports d’hiver ne sont que des choses à la télé.
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Tu ne seras jamais privé de désert comme de dessert
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Ping : Saison 4, Épisode 1 — Un machin pour Kévin | Un Coup de Foudre
L’alcool n’a pas du aider…
La foule, le bruit, je suis pas fan de cette sensation étouffante et anxiogène !
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