Ce soir, j’ai continué à regarder les deux prochains épisodes des Combattantes. Juste au moment où j’avais commencé à ne plus penser aux barbares, une nouvelle attaque m’a brutalement replongé dans l’horreur de la guerre. J’essaierai d’écrire d’une façon un peu moins divulgâcheur.
Le troisième épisode commence avec Marguerite dans son bordel, face à un client aussi inattendu qu’inacceptable — son propre fils (il ne le sait pas).

Caroline a perdu la commande de camions pour son usine, mais elle donne un collier à ses ouvrières en paiement pour leur travail :

Mère Agnès, qui voulait garder les soldats fous au lieu de les retourner au front, perd sa bataille avec le docteur. Elle apprend que son patient fou qui ne parle pas est en fait Allemand, pas Français.

Le général Duvernet, père du docteur, refuse de garder son fils, Léon, près de la maison. En même temps, Suzanne, qui continue de faire semblant d’être Jeanne Charrier, sauve la vie d’un patient et réussit à convaincre le docteur de ne pas retourner les soldats fous au front. À cause de ça, Mère Agnès décide d’abandonner son enquête sur la vraie identité de « Jeanne » — mais elle sait la vérité.


Marguerite rend visite au camp où son fils est soldat. Pendant qu’elle est là, les allemands attaquent. C’est encore une fois une scène horrifiante, même si je dois avouer que les soldats sont un cible légitime, pas comme les civils avant. Léon est gravement blessé et Marguerite lui conduit au couvent.

Charles, le beau-frère de Caroline, nous rappelle qu’il est un beau salopardigaud. Il reprend la contrôle de l’usine de Caroline et lui dit ce qu’il veut pour le dîner. J’ai peur que tout aille bien pour ce gars, car il ne mérite rien.

Dans l’air pendant la conversation de Charles et Caroline, on voit un avion. Il s’avère que le pilote, gravement blessé, est lui-même le mari de la vraie — et morte — Jeanne Charrier.

Léon mort à l’hôpital malgré les efforts du docteur Duvernet et Suzanne. Le docteur reproche son père, qu’il blâme pour la mort de son frère. Poussé ensemble par l’événement traumatique, le docteur et Suzanne s’embrassent. Ça ne va pas, car le mari de Jeanne arrive, et demande de parler avec elle,


On passe au 4e épisode. Si vous avez eu l’impression que certains personnages étaient plus forts face aux horreurs de la guerre, ce ne sera pas votre épisode préféré.
Le « mari » reconnaît tout de suite que Suzanne n’est pas Jeanne, mais après avoir appris la vérité, il la fait chanter en avouant que Jeanne n’était vraiment pas sa femme.

Il fait Suzanne l’amener au corps de Jeanne — je ne suis pas sûr de combien de temps a passé, mais le cadavre reste toujours reconnaissable. En cherchant le cadavre, il trouve une carte. Suzanne reconnaît que les deux étaient des espions pour les allemands.

Mère Agnès perd sa distance de son patient. Je ne veux pas tout gâcher, mais elle me déçoit plus que n’importe qui dans cet épisode. (Charles ne peut pas me décevoir, puisque je le haïs.)

Le général Duvernet de lancer une contre-attaque pour empêcher les Allemands de prendre Saint-Paulin. Il va avoir besoin d’ambulances.

Et comme par hasard, Caroline et Marguerite arrive pour convaincre le général qu’elles peuvent transformer les camions en ambulances. Quelle chance — l’usine sera sauvée !

Suzanne entend le patient parlant allemand et dit à Mère Agnès qu’il va falloir le dire au docteur. Mère Agnès devient maître-chanteur et lui dit qu’elle sait la vérité sur « Jeanne ». Je suis si, si déçu par Agnès.

Tout va de pire en pire pour Suzanne — elle est kidnappée par son « mari » pour l’aider à faire un vol quelque part.

L’armée française lance leur attaque, une réussite. Cette scène me fait chaud au cœur. Finalement, on voit des pertes allemandes.

Le général Duvernet apprend que le capitaine Dewitt est mort. Je vous ai dit après le premier épisode qu’il n’allait pas survivre ; sinon, je mangerais mon portable. Le blog peut continuer ! (Je ne sais pas taper en français sur mon ordinateur.)

Il s’avère que le vol était un rendez-vous avec l’armée allemande. Ce gars, Lucien, est aussi nul que Charles.

En même temps, Mère Agnès arrive à me décevoir une dernière fois. Vous pouvez déjà deviner comment après avoir vu la photo en haut. J’espère qu’elle se sauvera, mais elle a complètement échoué dans son rôle de religieuse.
Je reste complètement accro à cette série. Ce ne serait pas un bon drame si tout allait bien, et il reste le cas que c’est la guerre — beaucoup de monde perdent la tête. C’est un si grand plaisir d’enfin partager une expérience avec vous en même temps qu’elle arrive en France, au lieu d’un an plus tard avec un DVD.
Allez les filles, ne vous laissez pas faire 😉
Vivement les prochains épisodes.
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J’attends la suite avec impatience.
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Ping : Épisode 29, avec du mayennais | Un Coup de Foudre
Bonjour Justin, j’ai découvert une autre série sur Chérie 25 : NOS ANNEES MIRACULEUSES. C’est la première fois que je regarde une série traitant de l’Allemagne d’après guerre. En 6 épisodes, et je la trouve très interessante 🙂
Des règlements de compte, qui a fait quoi pendant la guerre de 39-45, qui tenait un double jeu etc… Tout ceci se déroule en Allemagne et nous y suivons le destin d’une famille d’industriels avec ses trois filles
« Dans une Europe d’après-guerre disloquée, les communautés locales et les entreprises s’efforcent de reconstruire les pays et les familles travaillent dur pour reprendre pied. Un sentiment particulièrement présent dans l’Allemagne dévastée, qui essaie toujours de se débarrasser de son héritage nazi. »
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Merci ! Je viens de le tester avec mon logiciel VPN, et j’ai réussi à commencer l’émission. Je regarderai un épisode complet plus tard.
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Bon visionnage alors ! 🙂
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Comment, tu ne sais pas passer de Qwerty à Azerty ? Pour écrire en polonais (ils utilisent le clavier Qwerty, mais avec leurs lettres spécifiques) je me suis fait un tableau papier avec la correspondance des lettres pour chaque touche de mon clavier Azerty et je bascule simplement W10 en polonais.
Autrefois je copiais-collais les lettres du clavier Lexilogos.
=> https://www.lexilogos.com/clavier/index.htm
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C’est pas l’Azerty qui est le problème. C’est les accents ! Je ne sais pas toujours les utiliser sans copier/coller sur l’ordinateur. Sur mon portable, j’écris aussi vite en français qu’en anglais.
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C’est bien, j’en suis incapable ! 😉
Sur l’ordinateur tu peux essayer d’utiliser la touche « Alt » que tu maintiens pressée pendant que tu tapes 3 chiffres sur le pavé alphanumérique, exemple :
à = Alt 133
é = Alt 130
ê = Alt 136
è = Alt 138
ô = Alt 147
ù = Alt 151
œ = Alt 0156
ç = Alt 135
Quand tu relâches la pression sur Alt, la lettre est écrite, tu as le récapitulatif chez Lexilogos ici => https://www.lexilogos.com/clavier/francais.htm
Sur le clavier Azerty, l’accent circonflexe « ^ » doit être tapé systématiquement avant la voyelle sur laquelle tu veux le poser, nous avons par contre une touche plus ou moins spéciale pour les autres lettres avec accent aigu ou grave, ou celles avec cédille.
Personne ne t’en voudra si tu ne mets pas les accents sur les majuscules, on les a ressorties il n’y a pas si longtemps et les 9/10ème de la population ne sait pas les écrire… elles ne sont pas sur les claviers ! 😉
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Oh là là, merci de toutes ces astuces !
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