Archives pour la catégorie Balado

Saison 4, Épisode 17 — Des fins et des commencements

Ça y est, le moi de 2020 appartient désormais au passé. Il voulait aller en France ? 2021. Il voulait voir Indochine dans un stade ? 2022. Il voulait voir les plages de Normandie et la Tapisserie de Bayeux ? 2023. Il voulait voir Bertrand Usclat, Sebastian Marx et Paul Taylor, ses héros du Confinement ? 2022, 2024 et 2025. Tout ce que j’avais espéré réussir cette année-là, c’est maintenant terminé, si plus lentement qu’attendu.

Bien sûr, le Tour était censé durer pendant 2 ans, et il m’a fallu 4 ans pour tout faire. Mais je ne m’attendais pas à la moitié de ce qui arrivait sur le chemin. Il reste le but de rencontrer dans la vraie vie plusieurs personnes que je connais depuis 2020, mais en quelque sorte, ça me semble autre chose, en dehors d’une liste de contrôle.

Dimanche matin, j’ai écrit un courriel à tous mes bénévoles pour leur remercier pour l’aide, ainsi que demander comment les citer dans les remerciements. 230 pages sont complètement corrigées selon les retours ; j’attends toujours une personne, mais le manuscrit est largement terminé. Je crois que je l’enverrai à des maisons d’édition le 28 — les dernières tâches seraient finies d’ici vendredi, mais j’ai une dernier contrôle de qualité planifié après ça, et je ne vais pas l’envoyer un vendredi, parce que je ne veux pas que les destinataires le ratent en partant pour le week-end.

Je suis partial, bien sûr, mais j’avais plusieurs buts pour le texte, et je crois que je les ai tous réussi. C’est l’œuvre intellectuelle que j’aurais dû produire il y a 25 ans, avec 16 pages de bibliographie. C’est par tours amusant et sérieux, avec des histoires bien-aimées du blog — le voyage fou, le malentendu nivernais, les brouteurs, M. Descarottes — ainsi que des histoires jamais racontées ici, dont une venant de la Seconde Guerre mondiale que j’espère que tout le monde lira.

Mais surtout, je crois sincèrement que j’ai capturé la plus belle version de ce blog, que c’est les bonnes nouvelles sur la France. Il me rend fou que les blogueurs littéraires disent « feel-good » pour parler de certains romans, parce que vous savez tous que je fais des efforts littéralement québécois pour éliminer tout anglicisme de mon écriture. Cependant, c’est exactement la bonne description du livre. Sauf pour quelques pages où je râle sur mes plaintes habituelles — surtout l’anglais partout et la bise — c’est une lettre d’amour à la France entière, qui met tout le pays en vedette. (Exactement ce que j’ai dit de La Grande Vadrouille.)

Je suis bien au courant que surtout pendant l’année dernière, il est devenu de plus en plus difficile pour moi de cacher certaines déceptions personnelles. Mais j’ai travaillé dur pour garantir qu’il n’y a rien de ça dans ce livre. Vous y trouverez tout l’optimisme de l’introduction en haut de la page du Tour, toute la joie de découvrir tant de choses pour la première fois. Je ne peux pas regarder l’humoriste Paul Mirabel, car nous partageons tous les mêmes défauts, mais je vous promets, ce côté n’existe pas du tout dans le texte.

S’il y a un défaut que je ne peux pas corriger, mais sais que c’est là, c’est que certaines parties manquent du profondeur souhaité. Par exemple, le Grand Classement des films ne reçoit que 2 pages. Pensez-vous que j’ai si peux à dire sur une si grande passion ? Absolument pas. Mais j’ai choisi mon format exprès — tout se lit rapidement, pour donner un sens de l’émotion, du tourbillon de découvertes sans cesse. Il y aura beaucoup plus à dire, mais c’est enfin la fin de ce projet, et le commencement de beaucoup d’autres.

Notre blague traite de maths. Nos articles sont :

Les gros-titres sont Switch et Bugs Bunny. Les Bonnes Nouvelles concernent un EHPAD et des sapeurs-pompiers héroïques.

Sur le blog, il y a aussi Les erreurs les plus lamentables, sur des erreurs que j’ai vraiment besoin d’éliminer, HAHAHAHAHA, sur un texto mal dirigé, Je découvre Adrien Gallo, la dernière entrée du Projet 30 Ans de Taratata, et Paul Taylor au Regent Theatre, le récit d’un spectacle de l’humoriste nommé.

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Saison 4, Épisode 16 — Le début de la fin (du livre)

Quel week-end, les amis ! J’ai sauté mon resto italien hebdomadaire vendredi afin de ne pas quitter mon ordinateur. Il m’a fallu plus de temps que prévu avec les corrections d’une lectrice qui a fait un sacré boulot — plus une réécriture qu’une correction. J’ai beaucoup appris en lisant ses propos, mais au nom de garder une voix dans le livre, il m’a fallu des heures pour décider quoi garder.

Mais samedi soir, j’ai accepté une invitation de mes parents de tester un nouveau resto mexicain pas loin d’ici, dont le propriétaire est l’acteur Mark Wahlberg. C’est seulement la deuxième fois de la vie du blog où je suis allé dans un resto car le propriétaire était célèbre — et l’autre fois, c’était pour M. Pokora. Très peu d’entre vous étaient ici pour ça, alors voici un lien au récit. À noter, c’était à Los Angeles, pas en France — ne me demandez pas comment il est arrivé qu’il s’est investi dans un tel projet. Je ne sais pas moi-même.

De toute façon, voici des photos du burrito et du « pain perdu à la mexicaine ». Les deux ont l’air bon, mais le goût et le rapport qualité-prix n’étaient pas à la hauteur des attentes.

Mais puisque nous étions là, nous sommes passés par Barnes & Noble, la seule chaîne de librairies restant aux États-Unis. On me dit parfois — et je viens de vous raconter une telle histoire la semaine dernière — que je devrais sortir une version anglaise de mon livre. Au-delà du fait que ce sera le livre le plus franchouillard du XXIe siècle, j’y ai pris une photo pour vous montrer le problème pratique :

Table recouverte de livres

Le panneau dit « Nouvelle fiction » alors ce n’est pas une comparaison directe, mais… il y a 58 livres différents sur cette table. Combien imaginez-vous sont écrits par des hommes ?

6. Ainsi que deux par des auteurs qui ont des noms étrangers qui ne me parlent pas. Mais ce problème est bien connu aux États-Unis depuis une décennie. Si j’avais des preuves d’une réussite ailleurs, le calcul changerait, mais lancer un livre destiné au grand public ici est une mauvaise idée de mon côté.

Certaines choses restent familières. En 2022, j’ai écrit un billet sur comment choisir les prénoms étrangers pour une œuvre de fiction, et pour vous montrer le niveau faible de nos auteurs, j’ai rassemblé des exemples de 4 romans récents qui se déroulaient en France. Je me souviens bien d’avoir remarqué — mais je ne suis pas sûr si j’ai publié mes pensées sur le sujet — que les « intrigues » étaient largement des citations des cartes :

« Jean-Kévin marchait rue des Cons. Puis il a tourné à droite, dans la rue des Bêtes. Avez-vous remarqué que tous ces noms sont en français ? Si exotique, cher lecteur ! Puis un camion a percuté Jean-Kévin, ce qu’il méritait car nommé Jean-Kévin. »

J’ai dû ajouter ça, car j’ai fait une promesse à Jours d’humeur à l’époque (c’est au lien en haut) que si j’écrivais une telle histoire, il y aurait un Jean-Kévin qui mourait « de façon aussi brutale que stupide ». Je tiens mes promesses. De toute façon, un livre sur la table en haut était comme ça, avec des mentions d’un Monoprix, un « Parc de Songeons » et une « Rue de Paris », ainsi que les mots « tabac », « crêperie » et « salon de thé » tous en italiques. Ça n’ajoute rien sauf l’air étranger. La photo du texte est à haute résolution pour vous amuser :

Notre blague se traite d’un chien malin — pour la deuxième semaine de suite. Nos articles sont :

Les gros-titres sont Switch et Bugs Bunny. Il n’y a pas de Bonnes Nouvelles — j’avais trop d’autres choses à faire

Sur le blog, il y a aussi C’est le 1er, version juillet 2025, ma revue mensuelle de mes blogs préférés, Ponctuation de Molière, sur certaines questions de ponctuation, Adieu à une amie du blog, où une amie de 3 ans a quitté tout présence en ligne, et Le choc culturel, plus tard que prévu, sur certaines expériences liées à la relecture du livre du blog.

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Saison 4, Épisode 15 — Tout va aux chiens

Le gros-titre de l’épisode sera le sujet de Langue de Molière au futur. Alors s’il vous semble que j’ai trop littéralement traduit une expression américaine, vous avez raison, mais c’était fait exprès. Plusieurs parties de l’épisode se traient des chiens.

Dans le livre, il y a un chapitre intitulé « Apprenant en faisant », où j’écris sur les différences entre les attitudes américaines et françaises envers la cuisine. Sans divulgâcher tout le livre, disons qu’une différence importante est la tendance à mon côté de l’Atlantique pour déclarer le premier essai « assez bon », peu importe la réalité, et l’existence d’un niveau minimum tel que le CAP Pâtissier est inimaginable. Tout ça, c’est à dire que quand je débute une nouveauté tel que le flan de samedi soir, les Américains ne me diront jamais ce qu’ils en pensent vraiment. Les Français ont moins peur à cet égard. Je l’ai bien aimé, même très bien, mais on m’a dit que la pistache était trop lourde, que ce serait mieux seulement en tant que chocolat-cerise. Et vous savez quoi ?

Je l’assume. J’aime bien la combinaison des trois, et c’est un peu d’un spectacle côté technique, mais si les « clients » ne sont pas ravis, je veux le savoir ! Il se passe que La Fille est d’accord, mais elle n’aime pas la pistache, alors je mets sa vue de côté. Mais elle a aussi très bien aimé la partie chocolat-cerise (pas surprenant ; la forêt-noire est une passion ici), alors je sais que plus d’expériences à cet égard seront les bienvenues. On n’apprend qu’à partir de retours honnêtes, et c’est vraiment la leçon.

Non, mais sérieusement, le fait que tout le monde ici s’attend à des louanges pour leurs plats à la fois brûlés et trop mouillés, c’est quelque chose qui me rend fou.

J’ai vu une nouvelle choquante en cherchant les Bonnes Nouvelles alors je dois demander : je sais que le mariage est toujours à la mairie en France. Mais est-ce que les deux personnes doivent être également là en même temps ? Je demande pour un ami, comme disent les enfants.

Il faut que j’ajoute : vous allez adorer les Bonnes Nouvelles.

Je dois ajouter aussi : il s’est avéré ce week-end que deux personnes qui me connaissent bien avaient raté mon annonce sur Facebook pour chercher des bénévoles chez l’OCA. Et les deux avaient hâte d’offrir leur aide. Si vous voulez savoir pourquoi il fallait que je l’écrive, c’est parce que ça m’arrive encore et encore chez les Français, alors que… comment dire ça… si je devais faire la même chose en anglais, je connais quelqu’un qui m’aiderait. Et je veux dire vraiment une personne.

À propos de ce dernier, c’était un expatrié de l’OCA qui m’a dit samedi que je devrais essayer de sortir une version en anglais. Je ne sais pas, sincèrement. Les recettes sont hyper-authentiques, et je crois que la plupart d’Américains n’aimeraient pas la coupétade, ni la galette à suc’, ni la fouace, ni le Pithiviers fondant… vous voyez ? C’est un livre très loin de ce que l’on pense est français aux États-Unis. Et il y a des choses là qui ne sont pas grand-chose à nos yeux, moi et vous, mais qui seraient considérés trop avancés pour la plupart du monde ici — les vol-au-vents, les madeleines, la tourte à la chair de poire. C’est sans même considérer l’intérêt des chapitres sur des films complètement inconnus, Eddy Mitchell, le malentendu en Nièvre, etc. Peut-être qu’il vaudrait la peine de préparer 50 pages de traduction comme proposition, mais une version anglaise ne pourrait pas être une simple traduction, il me semble. Que pensez-vous ?

Notre blague se traite d’un chien malin. Nos articles sont :

Les gros-titres sont Tortue et Chien. Les Bonnes Nouvelles se traitent d’une révolution médicale.

Sur le blog, il y a aussi La Bretagne au Kansas, l’histoire d’un cloître breton très loin de la maison, Les progrès de La Fille, sur un dialogue par SMS, Je découvre Jacques Dutronc, la dernière entrée du Projet 30 Ans de Taratata, et Le flan au chocolat-cerise et aux pistaches, une recette originale du blog.

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Saison 4, Épisode 14 — L’épisode de la catastrophe

On dit que les hommes ne se souviennent pas des anniversaires, mais je n’oublie jamais que le 23 juin est le Jour de la Catastrophe. C’est la source originale de C’est le 1er, puisque j’ai décidé que j’allais faire quelque chose d’utile du jour plutôt que de lamenter le fait que je refuse de le noyer dans de l’alcool. (C’est probablement pour le mieux.) Mais ça fera une semaine avant le prochain premier, et je suis d’humeur grincheuse.

Alors pour « fêter » l’occasion, et le fait que c’est bientôt aussi le 12e anniversaire de mon dernier rendez-vous, je vais vous raconter une histoire horrible. Puis une blague au-delà de l’épisode en récompense.

Il était une fois, il y avait une nommée Robyn. Son métier était marieuse. Elle était très réussie au travail — elle était directrice de contenus pour le plus grand site de rencontres catholique aux États-Unis — et des centaines de couples lui devaient leur bonheur. Mais pour tout ça, il y avait une personne pour qui elle n’a jamais réussi à trouver quelqu’un. Alors, un jour Robyn a tout plaqué et pris des vœux de chasteté et de pauvreté pour devenir religieuse.

Vous pensez que je plaisante, mais ce n’est rien que la vérité — j’ai raconté son histoire pour le site Quora en anglais il y a 7 ans, et voici le lien là-dedans à son post sur CatholicMatch (aussi en anglais). Comme j’ai écrit à l’époque : « Les vœux de chasteté : mieux vaut recevoir le mérite pour ce qui arrive quand même ».

Je sais que je ne vous ai jamais dit ça, mais pour des raisons que je ne comprends pas, mes amis anglophones me disent tous que ça changera seulement si j’ouvre une pâtisserie. Le logique m’échappe complètement. Personne d’entre eux n’a fait une telle chose.

Comme je vous ai dit, je suis d’humeur grincheux.

Mais je vous ai promis une blague en récompense. C’est pourri, mais j’ai vu ce mème dans un groupe privé sur Facebook il y a deux jours, et l’a trouvé hilarant. Certains d’entre vous l’ont vu déjà.

Un poulpe tue un calamar qui l'accusait sans pieuvre ! Ce dernier l'aurait insulté: " Va te faire tentaculer, fils de poulpe !
L'autre l'aurait encornet.
Encore un drame qui va faire couler beaucoup d'encre !

Notre blague habituelle pour l’épisode se traite de Sherlock Holmes et de son ami Watson. Nos articles sont :

Les gros-titres sont Touristes et Arrivistes. Il n’y a pas de Bonnes Nouvelles car j’ai eu un taux de glycémie de seulement 51 hier, et c’est un miracle que je me suis réveillé pour le régler. Si vous vous demandiez comment arrivera la fin, voici la bonne réponse. Non, je n’ai rien fait avec mes médicaments.

Sur le blog, il y a aussi Autour de Las Vegas, la fin de mon dernier voyage, L’expérience flan pâtissier, une première tentative de produire un flan aux deux goûts, Le réseau toxique, sur une mauvaise découverte chez BlueSky, et Je découvre Alain Chamfort, la dernière entrée du Projet 30 Ans de Taratata.

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Saison 4, Épisode 13 — Le type qui ne sait pas se taire

Un million de mots en 5 ans et demi, c’est pas mal, hein ? Je dirais même qu’environ cent mille étaient écrits sans fautes, et qu’une cinquantaine étaient drôles. Comme dit la blague sur le chanteur malchanceux qui devait répéter la même aria chez La Scala une douzaine de fois, je le ferai jusqu’à ce que je le fasse bien.

En parlant de ça, je dois vous raconter une histoire émouvante du week-end. J’avais discuté mon projet avec Mme la présidente avant de demander de l’aide pour le livre dans le groupe privé de l’OCA. Après tout, c’est personnel, et je ne voulais pas abuser de mes privilèges. Ayant reçu sa permission, j’ai posté une annonce samedi matin — et en moins de deux heures, j’étais inondé d’offres d’aide. Je ne savais pas — sincèrement — que tant de monde m’appréciaient comme ça. Avant de partir pour Vegas, j’avais préparé quelques fichiers au cas où — ça ne suffisait pas !

Je veux vous donner un peu de contexte. J’assiste à la même église que mon ex — le traité qui a mis un terme à la guerre entre nous disait que La Fille devait y être élevée. Comme arrive souvent, tout le monde a pris un parti. Ce qui me déçoit, c’est que littéralement tout le monde a pris son parti. Je ne dis pas qu’il fallait me choisir, juste que je me serais attendu à autre chose simplement par hasard. Pour vous donner une idée de la méchanceté, il y a une femme à qui je n’ai jamais dit quelque chose de blessante, qui s’approche de La Fille à chaque fois où nous sommes là ensemble. Et à chaque fois, elle fait semblant que je n’existe pas — elle ne s’adresse pas à moi en parlant à La Fille, ne me dit jamais bonjour, tourne la tête afin de ne pas me voir, c’est dingue. Et d’autre part, voici cette autre communauté qui ne me connaît que pendant 1/8 de tout ce temps, mais fait son tout pour moi. Je n’ai même pas les bons mots en anglais. Le mieux que je puisse dire, c’est simplement que c’est pourquoi j’ai voulu écrire un livre.

Tout ça, c’est-à-dire qu’après être rentré d’un trajet de 7 heures, je devais répondre à tous ces offres. C’est pourquoi cet épisode est si en retard !

On reprendra Las Vegas demain avec un peu plus sur l’hôtel Paris. Puis on passera à d’autres choses.

Notre blague se traite des blondes. Nos articles sont :

Les gros-titres sont Vacances et Territoire. Il n’y a pas de Bonnes Nouvelles car je viens de conduire pendant 7 heures hier — pensiez-vous que j’allais faire mes recherches derrière le volant ?

Sur le blog, il y a aussi Les émeutes de Los Angeles, sur la violence dans mon état, Ici et là, avec des nouvelles personnelles, La fête d’un million de mots, sur une étape importante, et Weird Al à The Venetian, sur le concert nommé.

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Saison 4, Épisode 12 — À la recherche du perroquet mort

D’abord, un grand merci à tous mes bénévoles qui ont lu des échantillons du livre. Comme vous savez tous, je galère avec ce qui suivra. Pour l’instant, je vais sortir un deuxième lot parmi d’autres gens que vous ne connaissez pas, des membres de l’OCA. Mais j’ai déjà l’impression que je sais ce qui arrivera prochainement.

Il y a des personnes dont j’ai écrit des portraits. Certaines sont des gens connus pour vous tous ; d’autres font partie de ma vie ailleurs. J’ai déjà commencé à les montrer ce que j’ai dit à propos d’eux, afin de leur offrir l’opportunité de dire oui ou non. Dans tous les cas, je n’utilise pas d’infos identifiantes, et seulement des noms tels que ces gens sont connus sur Internet. Cependant, il y en a d’autres qui sont mentionnés ici et là en passant, selon les mêmes règles de confidentialité. Si vous préférez ne pas en faire partie même de cette façon, merci de me le signaler soit dans les commentaires soit par courriel.

C’est encore une fois un court épisode — si je ne sonne plus comme la Grande Faucheuse, c’est que je suis devenu Jean Lefebvre dans Le Gendarme à New York (il passe tout le film à l’hôpital). Mais les blagues de la semaine doivent continuer !

Quelque chose d’amusant ? Facebook commence à me donner une certaine notification encore et encore :

Ça dit « Un nouveau fil entièrement dédié aux desserts et aux confiseries pourrait vous intéresser. »

Mesdames et messieurs, c’est fini — l’IA sait tout. Cependant, à chaque fois où je la clique, une erreur se produit. C’est les bogues qui nous sauveront de Skynet.

En parlant de desserts et de confiseries, j’ai de bonnes et de mauvaises nouvelles. La bonne nouvelle est que mon A1c a baissé par rapport à la dernière fois, et tous les autres chiffres sont excellents. La mauvaise nouvelle, c’est que l’A1c a baissé par la plus petite quantité possible. Je crains que mercredi, le jour du rendez-vous chez le médecin, ait tout pour me faire pleurer.

J’ai de bonnes et de mauvaises nouvelles sur autre chose. Pour une fois, la presse française ne rate complètement pas les actualités venant de chez moi. C’est la bonne nouvelle. Bien sûr, si vous lisez Le Monde, vous croyez qu’il y a juste des « manifs » en Californie (mais ils ont changé certains détails depuis la publication originale, qui reflètent un peu mieux l’actualité). Et si vous lisez Libé, vous croyez que « Dimanche matin, les rues de Los Angeles étaient calmes », ce qui était déjà pleinement faux samedi. Mais si vous prenez vos nouvelles de presque n’importe quelle autre source, vous savez qu’en fait, il y a des émeutes extrêmement violentes à Los Angeles et que tout comme en 2020, notre gouverneur (le même) refuse de faire respecter les lois. Demain, nous en parlerons, et je vous montrerai des photos (pas prises par moi) de la violence samedi dans exactement un endroit que je vous ai montré l’année dernière afin de le suggérer comme arrêt touristique. Je n’irais à LA pour rien en ce moment.

Nous avons enfin une blague qui n’a rien à voir avec l’alcool. Cependant, vu les contenus de la blague de cette semaine, je vous rappelle que je suis 100 % contre la maltraitance d’animaux, et n’aurais jamais fait pareil au regretté M. Descarottes. Notre gros-titre vient quand même de Monty Python.

Notre blague se traite de perroquets. Nos articles sont :

Les gros-titres sont Indochine et Nintendo. Il n’y a pas de Bonnes Nouvelles car cette tâche reste dure pour ma pauvre voix.

Sur le blog, il y a aussi Les Schtroumpfs de Landerneau, une enquête sur les comportements de certains finistériens, Théorie, sur la musique dans les restos rapides, Le pèlerinage du Jour J, un extrait du livre, et Voyage dans les temps, sur les bons temps pour ledit livre.

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Saison 4, Épisode 11 — Tout le monde aime Jodie

Si vous vous êtes jamais demandé à quoi ressemble la voix de la Grande Faucheuse, j’ai le bon épisode pour vous !

L’une des raisons pour lesquelles je suis le plus heureux que j’aie tourné le dos aux sports américains, c’est que le spectacle honteux qui s’est déroulé à Paris ce week-end après la victoire du PSG a également lieu à Los Angeles et à Philadelphie à chaque fois où leurs équipes gagnent quelque chose (liens en anglais). J’ai dit à un ami américain que Paris est devenu Philly-sur-Seine, ce qu’il n’a pas compris, mais qui m’a fait rigoler. (Philadelphie se surnomme « Philly ».) Mais la réalité, c’est que ce n’est pas drôle du tout. Il n’y a pas d’excuses.

Une mise à jour sur le livre : je suis maintenant à 123 000 mots, et il ne reste que 10 titres dans mon plan qui ne sont pas complets. Mais il y a des parties où je dis «Ça chante, c’est parfait », et d’autres où je dis « C’est pas censé être une liste interminable ! » Je vous ai mentionné « Le pèlerinage » ; je crois que c’est de la magie. « Les soldats » aussi, et « Rentrer pour la première fois », c’est à la fois familier et tout nouveau. J’adore ces parties. Mais il y en a d’autres — « La rencontre de Sainte-Jeanne et Louis », « La Grande Vadrouille » — où je me sens comme s’ils n’atteignent pas les hauteurs de mes attentes. Mais c’est bien le temps de chercher d’autres avis. Plus tard aujourd’hui (il faut que je me couche !), je recontacterai tous ceux qui ont indiqué de l’intérêt par les infos que j’ai pour vérifier s’ils ont toujours le temps. Si oui, ils auront des fichiers avant la publication de demain matin.

Mercredi, j’aurai une nouvelle prise de sang diabétique. Les chiffres me semblent excellents. Mais je croyais ça avant la dernière, et ça n’est pas allé du tout. Cette semaine sera donc stressante.

En environ dix jours, peut-être deux semaines, le blog atteindra une étape que je n’aurais jamais cru, la statistique la plus folle de toutes. Cependant, je ne sais pas quoi faire pour la fêter. Pouvez-vous deviner laquelle ?

Pour info, puisque ça fait 3 semaines de suite avec des blagues sur l’alcool : il n’y a pas de message là ; elles viennent toutes de sources différentes.

Notre blague se traite d’ivrognes. Nos articles sont :

Les gros-titres sont Cochons Volants et Agneaux. Il n’y a pas de Bonnes Nouvelles car c’était déjà difficile d’em enregistrer autant.

Sur le blog, il y a aussi Les brookies de Péla, exactement le dessert nommé, Tueur en série, mes mésaventures en tant qu’aquariophile, Roméo et IA-ette, sur la tricherie au lycée, et C’est le 1er, version juin 2025, ma revue mensuelle de mes blogs préférés.

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Saison 4, Épisode 10 — La figure de La Berma

Je vous ai mentionné que j’avais fait des kouign-amanns vendredi pour une soirée de l’OCA. La recette est exactement celle de mon dîner bretillien. Mais vu que mon sujet était tout autre chose, il n’y avait pas de photos. Réglons cette situation :

Il faut souvent avoir une machine pro pour obtenir ce genre de feuilletage, non ? Ces gens sont vraiment gâtés — Moulin ne fait pas mieux. En fait, Moulin n’en fait pas du tout, pour autant que je sache — si on veut des kouign-amanns à Elbe-en-Irvine, il faut m’en demander. Mais on peut les trouver dans le comté d’Orange — Rendez Vous Café les fait. Ils veulent 5 $ chacun — j’estime qu’il me coûte environ 8 $ pour faire une douzaine. C’est bon — et bon marché — de me connaître !

C’est ici où je vous rappelle que personne ne veut avoir ça à la maison. Je le sais car il y avait des photos dans mon ancien profil.

On est arrivés à la dernière semaine de l’année scolaire pour La Fille. Cet été, elle suivra un cours de chimie en ligne afin de se préparer pour un horaire encore plus brutal en automne. Et le saviez-vous ? En novembre, elle aura le droit à un permis d’apprenti conducteur. Je n’ai pas de problème avec ça. Je ne suis pas le seul parent non plus. On va bien s’amuser sur ce sujet, je crois.

Il y avait une conversation très difficile à la fin de la soirée vendredi. Il faudrait que je me taise, mais disons que quand on n’est pas là, on entend des potins derrière son dos. Je savais déjà que certains ne s’entendaient pas très bien avec la personne en question — quelqu’une que j’adore — mais j’ai entendu quelque chose que je ne répéterai pas, qui a réussi à me choquer. Je me sentais obligé de dire quelque chose pour défendre celle de laquelle je parle, autant pour être clair qu’il ne faut pas me prendre en confiance sur ce sujet qu’autre chose — même si je ne lui dirai rien, car ça ne servira à rien sauf la blesser. La réponse à ça m’a laissé bouche bée.

On m’a dit « Tu sais qu’elle est déjà mariée, oui ? » Comme si ce serait la seule raison pour laquelle je dirais de bonnes choses sur n’importe qui ! Mais pour être aussi clair que possible, même si je fais des blagues parfois où j’ai les yeux pour Mesdames Lemoine ou Mazoyer, aussi mariées, c’est seulement parce que je suis à 9 000 km et pas du tout sérieux. J’espère que je n’ai pas cultivé une réputation en quelque sorte à cet égard. Peut-être qu’il plaisantait, mais ne doutez jamais que ce n’est pas moi.

J’aime tellement quand mes loisirs deviennent lourds et pleins de drame ! Il n’y en a pas assez dans ma vie avec une lycéenne à la maison !

Suite à une demande, demain vous aurez droit à une autre recette de Péla. Après, on verra.

Notre blague se traite de la bière Guinness. Nos articles sont :

Les gros-titres sont Tronche et Parents. Les Bonnes Nouvelles se traitent d’un légionnaire héroïque.

Sur le blog, il y a aussi Le gâteau « Wiggler », le compte rendu d’un gâteau d’anniversaire, Un geste inattendu, sur une surprise de chez Cuisinart, Les macarons de La Fille et son amie, sur un projet des deux filles pour le lycée, et Les frites de Berto, sur un aliment de folie, le California burrito.

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Saison 4, Épisode 9 — La chenille avec Wiggler

Je suis épuisé après tout ce week-end en cuisine. Notre billet du lendemain sera une exploration du gâteau « Wiggler », ce que je juge un C+ selon le système américain de notes. Le biscuit glacé pour avoir la forme de la chenille fictive allait toujours avoir l’air enfant de 5 ans, car c’est la première fois de ma vie où j’ai tenté une telle décoration. Si j’avais réussi à avoir des bords plus propres — et j’étais déçu car j’ai utilisé du Rhodoïd, mais la mousse y a collé — le gâteau aurait valu un B selon moi. Heureusement, les ados l’ont adoré. Voici le produit final :

Gâteau Wiggler : un fond de biscuit chocolat-amande, avec deux couches de mousse au chocolat blanc et deux couches de génoise en haut. Il y a des sphères de crème Chantilly autour des bords en haut, et au centre, un biscuit en pâte sucrée est coupé en forme de chenille Wiggler, glacé en jaune, avec des pois oranges, un nez noir, une fleur blanche et verte sur la tête, et des chaussures violettes.

L’épisode du jour est plutôt court, parce que ce gâteau ainsi que les sacs cadeaux à emporter pour les invitées, étaient du travail. J’aurais pu m’épargner avec des madeleines sans chocolat, mais non, l’appel du m’as-tu-vu est trop fort.

Il me faudrait vous montrer un échantillon. Voici les deux choses ainsi que les sacs. Je n’ai pas acheté ces derniers pour l’événement — je les ai achetés il y a deux ans, et il me fallut 3 fêtes pour épuiser mon stock.

Je dois vous dire, il m’est vraiment intéressant de voir à quel point c’est facile à planifier une telle fête. Les filles passent 2 heures dans le jacuzzi en discutant je-ne-sais-pas-quoi, sortant seulement pour déjeuner et manger le gâteau d’anniversaire à la fin. On me disait que les ados, surtout les filles, étaient plus compliqués que ça. Je ne m’en plains pas. Je m’attendais à plus de soucis en élevant une fille de cet âge, c’est tout.

J’ai dû assister à une cérémonie vendredi, une sorte de palmarès pour les arts au lycée de La Fille. Elle a reçu un certificat, et j’aurais du mal à même expliquer pour quoi, mais elle était la seule dans sa fanfare à le recevoir. En quelque sorte, dans un lycée de 3000 élèves, il y avait plus de 600 prix à distribuer pendant 2 heures et demi. Parfois pour de vraies réussites, comme être sélectionné pour l’orchestre de l’état de Californie, parfois juste pour avoir montré son art dans un centre commercial local. Nous sommes un peu accros à donner des prix pour tout ici. Mon prix, c’était de m’asseoir à côté de la personne qui me déteste le plus au monde entier pendant tout l’événement. Je vis pour ces moments.

Je fouillais dans mes photos de mon premier voyage en France pour vérifier quelque chose pour le livre, et j’ai trouvé une photo à Schiphol pendant le retour, d’une boutique pleine de Toblerone, avec des parfums qui n’existent pas chez moi. Je l’ai envoyée à une amie qui adore Toblerone. Elle m’a répondu « Quelle coïncidence, je suis à Schiphol en ce moment ! »

Et en parlant du livre, j’ai vu ce clip d’une Praluline ce week-end. Le gâteau de Saint-Genix n’est pas complètement pareil, mais c’est très proche, et il me semble maintenant que je n’ai pas assez concassé les pralines roses. C’est la partie la plus drôle de fabriquer beaucoup de choses que l’on n’a jamais vu dans la vraie vie, peu importe goûté. Quel drôle de livre ce sera !

Notre blague se traite de l’oxygène. Nos articles sont :

Les gros-titres sont Tente et Sondage. Il n’y a pas de Bonnes Nouvelles ; j’étais trop épuisé pour faire des recherches.

Sur le blog, il y a aussi Les madeleines à l’orange et au chocolat, la nouvelle recette pour Dimanche avec Marcel, La mauvaise décision, sur un bouleversement dans le monde de baseball, L’école de la chenille, sur une école qui enseigne la danse nommée, et Robot Busch, 2012-2025, sur la mort de mon robot multifonction.

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Saison 4, Épisode 8 — Les Dieux-rois maudits

Encore une fois, je dois commencer par vous dire à quel point j’apprécie tous lets mots gentils pour La Fille après ses premiers croissants. Pour sa part, elle est très fière d’une statistique :

Capture d'écran des statistiques du blog pour la semaine dernière. Les deux pages les plus populaires sont les blagues et l'accueil, comme d'habitude, mais l'article le plus populaire après ces deux est celui sur ses croissants.

Vos yeux (ou vos plages braille) ne vous trompent pas. Ce n’est pas seulement le cas que son article (rédigé par moi, pour être clair) était le plus populaire, après les deux pages qui sont toujours en haut, c’est qu’elle se montre plus populaire qu’Indochine et le nouveau Pape. Et ça pendant une semaine où Indochine a joué plusieurs fois à Rouen, ce qui rend ce vieux article très populaire d’habitude.

Facebook m’a montré cet article de Franceinfo qui dit que depuis 1947, l a SNCF subit au moins une grève chaque abnnée. C’est de l’année dernière, mais le record a déjà été prolongé cette année. Je trouve ça incroyable, mais d’autre part, les grèves françaises viennent et partent beaucoup plus rapidement que chez moi. Ici, elles n’arrivent que peut-être toutes les 3-4 années, mais elles durent pendant des mois.

Il faisait chaud ce week-end à Elbe-en-Irvine. Encore une fois, j’ai pris une photo du thermomètre dans ma voiture pour montrer à mes amis francophones :

Photo de l'écran dans la voiture avec la température -- 34° C -- et l'heure, 18h25, soulignées en rouge. Ça montre aussi qu'Un été français d'Indochine joue à la radio.

Oui, 34° à 18h25. J’ai vraiment profité de samedi et dimanche. Lundi verra un retour vers 23°, selon la météo. Vivre dans un désert, c’est nul.

Un ami m’a envoyé ce tweet avec la maison de mes rêves :

150 mètres carrés, vue de la Seine, très moderne à l’intérieur mais avec sa façade de 1892, à 20 km de Rouen, et tout ça pour moins de 500 mille euros. Je veux pleurer. Aucune maison n’est disponible à Irvine à ce prix, peu importe tout ce dont j’ai envie.

Notre post de demain sera la recette des nouvelles « madeleines de Proust ». Après, je dois paniquer. Je m’attends à faire un gâteau pour encore une autre fête d’anniversaire de La Fille, et cette fois, le ciblé est celui du jeu Super Mario Party Jamboree :

La chenille en haut s’appelle « Wiggler » et fait partie des jeux Mario depuis 1990. Je crois que je peux réaliser sa forme avec le biscuit d’un soi-disant « number cake » comme on voit souvent sur Instagram. La décoration est tout autre chose — je n’ai aucune expérience avec le glaçage des cookies, mais ça me semble la bonne idée. Quant au gâteau lui-même, une génoise, de la mousse au chocolat blanc, et un croustillant pour la base devraient faire l’affaire. Mais pour la décoration, vos conseils sont les bienvenus !

Notre blague se traite de la vie après la mort. Nos articles sont :

Les gros-titres sont Question et Découverte. Les Bonnes Nouvelles se traitent d’une cause très cher à moi.

Sur le blog, il y a aussi Les croissants de La Fille, où elle a pris son premier pas en boulangerie, Premier chapitre, le début du livre du blog, Habemus americanam, des notes sur le premier Pape américain, et Je découvre Antoine, la dernière entrée du Projet 30 Ans de Taratata.

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