Cet après-midi, j’ai eu un autre cours de chanson avec l’Alliance Française. Naturellement, selon mon titre ici, on parlait plutôt de Véronique Sanson et de France Gall. Je plaisante — un peu — mais c’est impossible de parler de lui sans les mentionner.
On a commencé avec son premier tube en tant que chanteur, La groupie du pianiste :
Ça a l’air tellement années 70s, non ? J’ai eu une surprise très agréable avec cette chanson. D’habitude, j’ai besoin des paroles écrites quand j’écoute de nouvelles chansons (et c’est également le cas an anglais — j’ai du mal à comprendre des paroles quand il y a aussi d’autres sons). Je le trouve très facile à comprendre. Quant à la chanson, je me demande encore s’il parlait d’une personne particulière.
On passait ensuite par sa comédie musicale, Starmania, en particulier la chanson Le blues du businessman :
Cette chanteuse-là, Lara Fabian, est-elle très talentueuse ou pas ? Je dois trouver plus de son travail. En tout cas, ça nous rappelle qu’il était encore plus compositeur pour des autres que chanteur lui-même. Je ne savais pas avant qu’il avait écrit Quelque chose de Tennessee pour Johnny Hallyday — je pensais toujours que c’était un produit que le temps que Johnny lui-même a passé aux États-Unis. Il a aussi produit l’une de mes chansons préférées, Chanson sur ma drôle de vie. Qui savait à l’époque qu’elle ferait quelque chose aussi bizarre que s’enfuir pendant qu’elle est partie pour acheter des cigarettes ? Je n’ai pas eu l’impression qu’il a fait quelque chose de mal, mais on ne pouvait pas tout discuter pendant une heure.
On a terminé avec Le paradis blanc :
J’ai aimé celle-ci moins bien, mais il a quand même une discographie absolument incroyable. Il faut carrément que je cherche plus de ses efforts !