Archives mensuelles : février 2021

Qu’est-ce qu’il a pris ?

Dans ma boîte aux lettres aujourd’hui, un livre appelé «Kissing My Songs». Il traite des premiers 11 albums d’Indochine, et il est une collection d’interviews entre Agnès Michaux et Nicola Sirkis.

Il n’est pas le genre de livre qu’on doit lire de l’avant vers l’arrière. Chaque chapitre commence avec un interview bref sur l’enregistrement d’un album, puis des questions sur chacune des chansons dans l’album. J’espérais que ce livre m’aiderait de mieux comprendre certaines de leurs paroles. J’ai encore la plupart du livre à lire, mais je peux vous le dire déjà : il est parfois très utile, mais pas tout le temps. Des exemples :

J’appelle «Un jour dans notre vie», «Un été français», et «Nos célébrations» la trinité parce qu’elles sont les trois chansons les plus importantes pour moi. Ce livre est sorti avant les dernières deux, mais j’avais hâte d’apprendre plus sur «Un jour dans notre vie». Et je n’étais pas du tout déçu. Grâce à ce livre, j’ai appris que le texte «Illuminations» de Rimbaud et l’album «Teenage Depression», du groupe britannique Eddie and the Hot Rods, étaient les inspirations de cette chanson. Pensez-vous que je les étudierai ? Bien sûr !

La discussion de «3e sexe» vaut également le prix du livre pour moi. Je n’ai pas grandi avec Indochine, mais quand on regarde cette vidéo de «Putain de Stade», on comprend tout à coup :

Honnêtement, je ne peux pas regarder cette vidéo sans pleurer, ni celle-ci ni celle de «L’Aventurier». Ces chansons n’appartiennent plus à Indochine, mais à toute la francophonie. Dans ce livre, il parle de l’inspiration des Beatles et « I wanna hold your hand » pour «On se prend la main», même s’il préfère les Rolling Stones.

Par contre, il n’a rien à dire sur «Miss Paramount», sauf que sa copine a fait les choses dans la chanson pendant qu’ils ont regardé «Shining» ensemble. Je crois qu’il a emprunté le nom d’un personnage des histoires de Bob Morane, mais le livre ne nous dit pas. Il n’a pas non plus rien à dire sur la chanson «Alice & June». J’aurais voulu apprendre pourquoi la chanson est appelée «Alice & June», mais il n’y a pas de June dans les paroles !

Ce livre a donc ces fautes, mais je le recommande aux fans d’Indochine quand même. Quand c’est bon, c’est merveilleux !

Mon dîner aveyronnais

Arrêtez n’importe quoi que vous êtes en train de faire. C’est moins important que de planifier votre prochain séjour en Aveyron. Autant que l’Ardèche et les Alpes-Maritimes, ils ont de la belle cuisine ! Voici les farçous et la flaune :

Les farçous sont une spécialité aveyronnaise aux épinards et aux lardons. La flaune est un cousin du flan pâtissier, mais plus simple et avec de la fleur d’oranger. Tous les deux sont DÉLICIEUX !

D’abord, nous allons faire les farçous. Je dois vous prévenir — il n’y a pas de mesures dans cette recette. C’est le genre de recette où Mamie sait déjà tout et la montre à ses petits-filles pour perpétuer la tradition. J’ai dû suivre les photos de cette recette, que je dois à l’Agence de Développement Touristique de l’Aveyron.

Les ingrédients, pour 5-6 farçous :

  • 2 œufs
  • Bouquet de persil
  • Pain (3-4 tranches environ)
  • Lait
  • Farine
  • Ail (2 ou 3 gousses)
  • Epinard (un saladier)
  • 100 g Lardons

Les instructions :

  1. Laver les épinards et le persil.
  2. Dans un saladier, mettre le pain avec du lait. Laisser reposer 2-3 minutes.
  3. Pendant que le pain repose, faire revenir les lardons à la poêle.
  4. Mixer le pain, les légumes et les lardons dans un robot multifonction
  5. Mettre la mélange dans un saladier. Ajouter les œufs et fouetter bien.
  6. Ajouter de l’ail, du poivre, et du sel selon vos goûts.
  7. Faire avec de la farine des petites boules, pour ensuite les disposer dans la poêle (quand un côté commence à dorer le retourner pour faire dorer l’autre). Les farçous dorerons très vite, donc faites attention !

La flaune est un dessert très délicieux. La recette ressemble un peu le flan pâtissier, mais c’est encore plus facile. Faites attention et ne remplissez pas trop votre tarte — la recette dit 40 minutes, mais j’en ai eu besoin de 60 pour tout cuire. Cette recette vient aussi de l’Agence de Développement. J’ai utilisé ma recette habituelle pour la pâte brisée au lieu de la sienne.

Les ingrédients pour la pâte brisée :

  • 100 g de beurre
  • 200 g de farine
  • 1 g de sel
  • 25 g de sucre en poudre
  • 1 jaune d’œuf
  • 50 ml d’eau

Les instructions pour la pâte brisée :

  1. Dans un saladier, mélanger bien la farine et le beurre. C’est vraiment important que la pâte est bien sablée.
  2. Ajouter le sel, le sucre, le jaune d’œuf et l’eau. Bien mélanger et ajouter un peu plus de farine si la pâte est trop collante.
  3. Former une jolie boule et réserver au frigo pendant deux heures.
  4. Étaler la pâte et la mettre dans un moule à tarte.

Les ingrédients pour la garniture :

  • 4 œufs
  • 200 g de sucre
  • 400 g de recuite
  • 25 cl de crème liquide
  • 2 cuillères à soupe de fleur d’oranger (la version originale dit 1 dl, mais j’ai cru que c’est trop, et j’étais heureux avec les résultats)

Les instructions pour la garniture :

  1. Mélangez au fouet et énergiquement les œufs avec le sucre. Ce mélange doit blanchir sous l’action du fouet.
  2. Ajoutez la recuite, la crème liquide et la fleur d’oranger. Mixez le tout et versez sur le fond de tarte.
  3. Cuire 45 minutes à 160°C.

J’essayerai !

Cette semaine, Le Canard Enchainé suggère que tout le monde doit essayer le double masque comme chez moi. Je ne crois pas qu’on éternue ici comme ils disent, mais ça veut peut-être que je dois essayer plus fort !

Ils suggèrent aussi qu’il y a de bonnes nouvelles pour ceux qui ignorent leur santé :

Et celui-ci me rappelle une blague russe des années 80s :

La blague : Une famille obtient l’autorisation de commander une voiture. Le père va chez le concessionnaire et le vendeur lui dit : «Votre voiture sera prête en dix ans.». Le père répond «La matinée ou l’après-midi ?» Le vendeur est choqué : « Ça ne fait rien ! C’est dix ans !» Et le père répond «Peut-être, mais le plombier arrivera dans la matinée !»

Comme toujours, si vous avez profité de ces dessins, abonnez-vous !

Jamais dans la langue parlée, hein ?

Je suis en train de mes études B2, et j’ai trouvé ces instructions sur le passé simple :

Ça dit en part : «Le passé simple est l’équivalent direct du passé simple en anglais (I did), mais on le trouve presque entièrement dans la littérature et des autres écritures en Français. Dans le français parlé, le passé simple a été remplacé par le passé composé.»

Hmm. J’ai mes doutes. Pourquoi ? À cause d’avoir trouvé beaucoup d’exemples dans la musique française ! J’avoue, je ne les ai pas reconnus à l’époque, mais voici quelques exemples que je comprends mieux maintenant :

«Quelque chose de Tennessee», par Johnny Hallyday, sorti en 1985 :

On peut voir «Sans un seul amour, sans un seul ami, ainsi disparut Tennessee».

Et aussi dans «Les Histoires d’A», par Les Rita Mitsouko, sorti en 1986 :

Deux fois, en fait, peut-être trois : «Evelyne tout sa vie attendit, que le monsieur en gris lui sourit» et «Gilbert partit en voyage». J’avoue que je ne suis pas sûr si «sourit» est dans le présent indicatif ou le passé simple. C’est le même mot dans tous les deux conjugaisons. Et je sais que c’est souvent les cas en français, quand on écrit des histoires du passé, on utilise le présent. On voit souvent une mélange des deux :

En ce qui concerne la période du règne de son père, on sait que Charlemagne a pris part à un certain nombre d’événements. Il est à la tête de la délégation qui accueille le pape Étienne II en Champagne en 754 (à 12 ou 6 ans) et il est peu après sacré par le pape, en même temps que son frère Carloman 1er

(Source)

Et le style n’a pas changé. Voici un dernier exemple, «Station 13», par Indochine, sorti en 2017 :

«Je descendis toutes les rivières».

Franchement, je ne comprends pas pourquoi la leçon dit ça quand c’est si facile pour un élève de trouver des contre-exemples. Il y a beaucoup de nouvelles conjugaisons dans le niveau B2 — le futur antérieur, le passé antérieur, le conditionnel passé, le subjonctif passé. Je suppose qu’ils ne veulent pas que les élèves perdent tout espoir ! Mais ce n’est pas la réalité de vivre avec la grammaire française — on trouvera toutes les conjugaisons et il faut qu’on les comprenne.

Les macarons Saint-Valentin

Pendant ces derniers mois, j’ai beaucoup reçu d’inspiration de mes héros Laurène Lefèvre et Pierre Hermé. Je voulais faire une combinaison de leurs idées pour le jour de la Saint-Valentin, le macaron «Chloé» du livre des macarons de Pierre Hermé (appelé «Macaron»), et le macaron géant de Laurène. Tous les deux utilisent de la framboise, l’un avec du chocolat et l’autre avec de la vanille. Et voilà, mon macaron Saint-Valentin !

C’est une combinaison de la crème pâtissière, de la ganache au chocolat, et de la framboise fraîche. M. Hermé utilise de la framboise sèche dans sa recette, et M. Lefèvre de la framboise fraîche. Elle utilise aussi de la crème mousseline — c’est la même chose que la crème pâtissière mais avec du beurre.

Les ingrédients :

Pour les coques :

  • 120 g sucre en poudre
  • 120 g sucre glace
  • 120 g poudre d’amande
  • 100 g blancs d’œuf
  • Du gel colorant rouge

Pour la ganache :

  • 200 g chocolat noir
  • 20 cl crème liquide
  • 50 g beurre doux

Pour la crème pâtissière :

  • 4 œufs
  • 200 g sucre en poudre
  • 60 g maïzena
  • 1 gousse de vanille ou 1 cuillère à soupe de vanille liquide
  • 80 cl de lait

On a aussi besoin des framboises.

Les instructions :

Pour les coques :

  1. Mettre la poudre d’amande et le sucre glace dans un robot culinaire. Ça mélange les deux mais aussi rend plus fine la poudre d’amande. On peut tamiser les deux au lieu d’utiliser le robot.
  2. Mettre les blancs d’œuf dans un robot pâtissier, et les battre à grande vitesse. Ajouter le sucre en poudre pendant que les œufs sont en train de battre. Ajouter quelques gouttes du gel colorant. On doit obtenir un «bec d’oiseau» comme dans la photo au-dessous.
  3. Mélanger la poudre avec les œufs. On doit obtenir un ruban comme dans la photo au-dessous — la pâte devrait tomber de votre maryse.
  4. Placer la pâte dans une poche à douille et faire les coques sur une plaque de cuisson. Enfourner 15 minutes à 150 C.

Pour la ganache au chocolat :

  1. Mettre la crème dans une casserole sur un feu doux. Ajouter le chocolat et mélanger complètement.
  2. Ajouter le beurre. C’est VRAIMENT important à utiliser un feu doux sinon le beurre ne mélangera pas avec la crème et le chocolat et les résultats seront dégoûtants.
  3. Réserver la ganache au frigo pendant 2 heures.

Pour la crème pâtissière :

  1. Mettre les œufs dans le bol d’un robot pâtissier. Ajouter le sucre et mélanger jusqu’à la mélange blanche.
  2. Ajouter la maïzena et bien mélanger.
  3. Faire bouillir le lait dans un casserole avec la vanille. Renverser un peu du lait dans le bol du robot. Mélanger avec une maryse. Ajouter progressivement du lait.
  4. Remettre la mélange dans la casserole. Continue à faire bouillir et mélanger jusqu’à ce que la crème devienne bien épaisse. C’est prêt quand des bulles commence à apparaître.
  5. Mettre la crème dans une plaque de cuisson couvert avec du film de contact. Couvrir la crème avec plus de film de contact.
  6. Réserver au frigo pendant au moins 1 heure.

Montage :

  1. Détendre la crème dans un robot pâtissier.
  2. Mettre la crème et la ganache dans 2 poches à douille.
  3. Mettre de la crème sur une coque. Ajouter une framboise.
  4. Mettre de la ganache sur une autre coque.
  5. Placer l’une des coques sur l’autre.
  6. Réserver au frigo jusqu’au temps de servir.

Et vous pouvez voir — j’ai essayé de faire un macaron géant comme celui de Laurène :

Hélas, les coques se sont cassées. Mais je crois que les petits macarons sont de belles réussîtes !

Des idées pour Saint-Valentin

Aujourd’hui est le jour de Saint-Valentin, et j’avais fait quelque chose de spécial pour vous montrer. Hélas, j’ai eu un accident dans la cuisine en train de montage, alors je le referai le matin. Au lieu de ça pour l’instant, voici des idées des grands chefs qu’on peut acheter.

Chez Lenôtre, on trouve des entremets en forme de cœur :

Chez Pierre Hermé, on peut apprendre comment faire son macaron Infiniment Rose :

Et si vous ne voulez pas faire ça vous-même, il y a encore ce gâteau :

Et chez Guy Savoy, quelque chose de vraiment fou :

J’ai appris aujourd’hui que c’est vraiment difficile de faire un dessert en forme de cœur pour la première fois. Mais je promets que vous verrez quelque chose plus tard aujourd’hui ! (Peut-être ne plus en forme de cœur.)

L’Avare

Ce soir, j’ai regardé L’Avare. C’est le film le plus insolite que j’ai jamais vu. Comme d’habitude, mes photos du film — mais ils ont quelque chose de vraiment différent en commun :

Dans toutes ces photos, on voit quelque chose que nous dit que nous somme en train de regarder une pièce de théâtre. Ce film joue avec l’idée d’être une pièce — les personnages parlent au public, puis d’autres personnages leur demandent à qui ils parlent !

L’histoire soi-même me rappelle «La Folie des Grandeurs». Le personnage Harpagon, joué par de Funès, ressemble beaucoup à Don Salluste. Il veut encore se marier à une fille trop jeune pour lui. Mais cette fois, elle n’est pas déjà mariée. Il est aussi gourmand qu’avant. C’était assez différent que les similarités ne me dérangeaient pas, mais il est possible de regarder assez de films qui ont lieu en Espagne avec des nobles avides !

Le Nouvel An chinois

J’habite dans une ville (Irvine) où vers 40 % des habitants sont d’origine asiatique, donc le nouvel an chinois est fêté ici. Ça m’a rendu curieux de savoir comment le Nouvel An chinois est fêté en France. Y a-t-il des changements aux coutumes à cause de vivre là-bas ? Et la réponse : ça existe, et c’est plus ou moins quelque chose de familier.

Il y a plusieurs quartiers asiatiques à Paris : le chinois, dans le 13e arrondissement ; le japonais, dans le 20e ; et le coréen, au bord du 1e et du 2e. Contrairement aux États-Unis, l’architecture n’est pas particulièrement asiatique; voici une comparaison :

Mais avant le virus, qui a annulé les événements de 2020 et 2021, il y avait des défilés si grands à Paris qu’ils font partie du patrimoine culturel du pays. On peut voir un exemple de 2019 ici :

Comme partout dans le monde chinois, les couleurs rouge et or signifient le bonheur et la chance. On s’envoie des cartes de vœux, appelées «hongbao», et c’est la même chose partout. À Paris, on peut aussi commander des plats traditionnels des grands restaurants, et ils ressemblent ceux que je connais aux États-Unis.

Ce n’est peut-être pas trop surprenant que les coutumes restent les mêmes partout. La culture chinoise est l’une des cultures les plus anciennes du monde et c’est bien établie. Je me demandais si c’était peut-être adapté comme la culture française à la Nouvelle-Orléans, mais ce n’est pas le cas.

Le Canard fête l’amour

J’aurais dû savoir que Le Canard Enchaîné aurait des dessins pour la Saint-Valentin cette semaine. Bien sûr, pas de sentimentalité de guimauve pour eux !

Il y en a plus de la même origine :

Et aussi pour les jeunes, les pauvres :

Ils sont en pleine forme cette semaine. J’ai adoré leur titre — tellement français !

Je n’ai trouvé personne qui s’appelle «Jeanne» sous ce titre, mais ce n’est pas du tout le propos.

Comme toujours, si vous avez aimé ces dessins, abonnez-vous !

Je découvre l’Aveyron

On continue le tour avec 12, l’Aveyron. C’est le département le vingt-troisième moins peuplé et les habitants se nomment aveyronnais. L’Aveyron fait partie de la région d’Occitanie, que nous avons déjà visité avec l’Ariège et l’Aude. 

Les plus grandes villes de l’Aveyron sont Rodez et Millau. Chacune a environ 20 000 habitants. Rodez a plus de 2 500 ans d’histoire. Selon Wikipédia :

[S]on existence remonterait au ve siècle av. J.-C., lorsqu’une peuplade celtique d’Europe centrale, les Rutènes, s’arrêta au sud de l’Auvergne pour fonder l’un de ces oppida caractéristiques de la civilisation gauloise, celui de Segdunon romanisé en Segodunum…Segodunum perdit son nom pour devenir Rogomatus Ruteniis (signifiant « le marché aux Ruthènes ») qui est devenu Rudez en occitan médiéval.

(Source)

Millau est presque aussi vieille ; elle date au Ier siècle avant J-C. À Millau, on se trouve La Graufesenque, une site archéologique du temps romain :

Comme beaucoup de France, l’Aveyron est absolument plein des trésors du Moyen-Age. Il fait partie de « La Route des Seigneurs du Rouergue », 19 châteaux en Aveyron, Tarn, Lot et Cantal. Mais pas juste des châteaux — on se trouve beaucoup de belles églises et des musées. Voilà :

Et l’Aveyron a quelque chose de vraiment différent que n’importe quel de nos départements précédents — une collection de lieux avec trois étoiles du Guide Michelin !

Qui sont les habitants les plus connus de l’Aveyron ? Il y a le cuisinier Cyril Lignac (au moins célèbre parmi mes groupes de cuisine), le musicien Gaëtan Roussel, et…bien, ces deux sont les seuls connus pour moi. Quand je parle des personnes connues, je veux dire des gens qui sont connus mondialement ou du moins à quelqu’un qui est juste un étudiant comme moi. Ce n’est pas du tout une faute de l’Aveyron — on peut voir que c’est un département étonnant !

Finalement, qu’est-ce que les aveyronnais aiment manger ? Le fromage Roquefort (on peut visiter les caves), les farçous (une galette à la saucisse et à la blette), la fouace (une version du gâteau des rois), la flaune (un peu comme le flan pâtissier), et beaucoup d’autres choses. Ils ont un excellent blog pour découvrir leur cuisine, et j’ai hâte de l’essayer !