J’ai tout oublié de mentionner le week-end dernier j’ai regardé «Mais où est donc passée la 7e compagnie ?» Ah bon, ce week-end, j’ai regardé la suite, «On a retrouvé la 7e compagnie», alors je parlerai des deux à la fois.
L’idée de ces films me rappelle Papa Schultz (connu aux É-U sous le nom «Hogan’s Heroes») — la plupart du scénario a lieu parmi des prisonniers de guerre. Ça m’intéresse parce que c’est plus facile à penser à vos compatriotes comme des héros plutôt que comme des prisonniers. De tous les films que j’ai vus qui ont lieu pendant la Seconde Guerre Mondiale, c’est souvent le cas que les héros sont au moins libres, s’ils ne sont pas des soldats.
La scène la plus intéressante dans le premier film est sans doute quand les soldats français rencontrent un épicier collaborateur. Les soldats font semblant de parler mal le français à cause d’être allemands. Ils disent alors des choses comme «nous vouloir du vin rouge» et «le chef veut du à l’ail !» C’est drôle, mais j’ai l’impression que ça a dû prendre longtemps avant que quiconque puisse faire des blagues sur les collaborateurs.
Le deuxième film n’a pas de moments aussi drôles, mais c’était quand même intéressant. Cette fois, les soldats sont prisonniers dans un vieux château. Il y a une femme qui commence par vouloir aider les français, mais elle les trahit avec les Allemands. Un autre sujet que j’imagine n’était pas tout agréable quand le film a été tourné.
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