Il faudra qu’on parle

En ce moment, je suis dans un bus. C’était inattendu, mais c’est le Système D — tous genres de trucs sont toujours soit fermés soit annulés soit emballés par un escroc. À cause d’avoir perdu environ deux heures aux buses au lieu de trains, je partirai sans avoir mangé aujourd’hui. J’aurais tellement aimé revenir au Temps des Cerises et faire des achats chez Carrefour ou encore Monoprix. (Je veux visiter un Monoprix comme vous voulez visiter Hawaï.)

Mais ça devra attendre. Disons que si la leçon de la dernière fois était que les stéréotypes ont tort, la leçon de cette fois est qu’ils ne viennent de nulle part. Je dois bien réfléchir avant de vous raconter ce voyage, parce que je sais très bien que vous êtes tous mes amis, et vous ne méritez pas du tout ma colère d’hier. Ou, franchement, d’aujourd’hui pas non plus.

Alors en ce moment, je vais partager juste deux choses. D’abord, un souvenir du meilleur concert de ma vie :

Puis, un œuvre d’art que j’appelle « Avant et après » :

Je vous ai dit que je suis arrivé pour nettoyer les étagères de nougat !

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