Mon colis est finalement arrivé le 18. Voici les contenus :

Et dès qu’ils sont arrivés, j’ai fait une bêtise. (C’est ma semaine.) J’ai dû conduire une distance assez longue pour écouter, disons, les vingt premières minutes. Le premier des 3 CDs commence avec Nos Célébrations, exactement comme au concert (extrait en bas). Mais ce n’est pas un enregistrement pris des micros sur scène juste aux moments où le groupe joue. C’est plutôt un documentaire de l’évènement, avec l’ambiance de la foule, et tout le parler de Nico entre les chansons. Et exactement comme au concert, j’étais dépassé par le souvenir d’avoir été là quand le groupe est monté sur scène, et j’ai commencé à pleurer. Faut pas pleurer en conduisant !
(Il y a certaines chansons qui marchent bien pour ça. Voici deux armes pour m’arrêter net, n’importe où.)
Je veux être bien clair : la raison d’être (désolé pour l’anglicisme) de ces disques, ce n’est pas écouter la musique, pour autant que je l’aime. Les albums servent le mieux à ce but. C’est plutôt le parler et la foule. C’est passer un moment absolument magique avec Dimitri Bodiansky, leur ancien saxophoniste, quand cette foule hurle son approbation pour le revoir. C’est écouter les « encore plus fort » pendant « Marilyn » ou les « woo » pendant « Miss Paramount ».
Les 3 CDs font 2h30 au total ; le film comprend une heure entière d’autres choses, dont un tour de la tour au centre du stade, et un enregistrement de la chanson « Atomic Sky », qui ne fait pas partie des CDs. C’est un petit truc qui ne m’aide même pas, parce que j’ai acheté le bon lecteur pour le Blu-Ray Zone B il y a longtemps, mais ce disque est pour tous les zones. Les fans au Pérou et au Québec n’auront pas besoin d’un lecteur spécial juste pour le jouer.
Honnêtement, je ne sais pas quand je le regarderai. En écoutant les CDs, je suis encore une fois au courant du point auquel j’ai dû prendre le voyage fou. Exactement au même point qu’avec Putain de Stade, on regarde pour expérimenter un peu être au milieu du spectacle. Mais cette fois, j’étais là. Je pense aux mots que j’ai écrits au début — j’ai le mal du pays pour un pays que je n’ai jamais visité — et je les ressens à nouveau. Encore plus fort.
Un concert, c’est toujours magique !
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Ouf ! Ce colis est enfin arrivé !! Cette fois, pas de facteur imaginaire posté devant une porte imaginaire disant que le destinataire imaginaire était absent…
Bon visionnage. Sauf erreur de ma part, n’est-ce pas le concert de Lyon qui a été filmé ?
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Oui, c’est le concert de Lyon. Quand j’ai dit « j’étais là », je ne voulais pas donner pas l’impression d’avoir été au concert du film, juste de la même tournée.
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Je ne disais pas cela dans ce sens, Justin. J’imagine que le concert est tellement bien organisé, au millimètre près, que ce que vous avez vu à Paris doit être à un détail près ce que vous verrez dans le DVD ?
Croyez-bien que si étiez venu à Lyon, vous n’auriez pas eu d’autre choix que de venir déguster mon saucisson brioché !!!
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Ah oui. C’est presque identique. Le son est un peu différent, j’imagine à cause des formes différentes des stades. Mais c’est très, très similaire !
J’attends ce saucisson brioché un jour !
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Que d’émotions dans ton article !
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